Fuck Yes Eve Myles ϟ feat. Eve MylesGwen Lloyd
35 ans ϟ Others ϟ Mère au foyer (dotée d'un compte en banque assez rempli pour ne pas devoir travailler) ϟ GalloiseDATE DE NAISSANCE ϟ 11 Mars 1928.
Courageuse - Intelligente - Sûre d'elle - Impatiente - Sérieuse - Têtue ϟ
DONS ϟChamps de force psychique: Gwen peut se protéger de toute intrusion mentale dans son esprit, ce qui peut ainsi empêcher n'importe quel télépathe de la contrôler. Bien sûr, plus le télépathe voulant la soumettre sera puissant, plus elle éprouvera de difficultés à se protéger. Mais ayant acquis la pleine maîtrise de son don, la manipulation ne durera pas plus de quelques minutes. La jeune femme peut également protéger une autre personne ou un groupe de moindre importance.
Guérison: La mutation secondaire de Gwen lui permet de guérir n'importe quelle blessure en se concentrant sur celle-ci. Elle peut guérir n'importe quelle blessure, mais ne pourra pas guérir des maladies incurables ou ressusciter une personne décédée sans en mourir elle-même. Autre point négatif de sa mutation, Gwen "prend" temporairement la douleur et les conséquences de la blessure qu'elle soigne. S'il s'agit par exemple d'une blessure par balle, la jeune femme souffrira comme si ça avait elle-même qui fût blessée...
CONVICTIONS ϟ Il y a quelques années de cela, les croyances de Gwen étaient bien différentes de celles qu'elle puissent avoir aujourd'hui. Ancienne Damnée, elle était persuadée que les mutants ne seraient jamais acceptés par les humains, et donc favorable aux plans du Club visants à tous les détruire pour laisser la planète aux mutants. Mais elle changea d'avis avec le père de sa petite fille, maintenant parti, qui lui montra que les humains ne sont pas comme elle l'imaginait. Gwen regrette profondément ses actes passés et veux tout faire pour que sa fille puisse un jour grandir dans un monde voyant les mutants et les humains vivre en harmonie. Enfin elle n'est pas encore prête à vraiment se battre mais l'idée est là...
we are the future, not them
Un cauchemar, encore. Je détestais vraiment ça. La sensation de se sentir emportée par de terrifiantes chimères dans un tourbillon de sang et de ténèbres, tout en ayant conscience d'être en plein mauvais rêve...Chacun de mes cauchemars me laissait trempée de sueur, le coeur battant à toute rompe dans ma poitrine comme s'il voulait s'en arracher...Mais cela se répétait encore et encore, nuit après nuit, et ce depuis maintenant plus de deux ans. Des cauchemars tous plus effrayants les uns que les autres, derniers lambeaux des actes immoraux que j'avais pu commettre lorsque j'étais encore un membre du Club très fermé des Damnés avant d'en partir. Je regrettais profondément d'avoir pu faire de telles choses, ayant à l'époque été aveuglée par ma haine éprouvée envers les humains, aussi acceptais-je sans une plainte mes nuits d'insomnies. Je considérais cela comme une punition pour accéder à la rédemption de mes fautes passées. Après avoir repris mon calme, je repoussais les couvertures de mon lit pour aller dans la chambre de ma fille. Tel était l'unique point positif de mes mauvais rêves, pouvoir y venir étant devenu mon rituel nocturne. Endormie, ma petite fille était si paisible que le simple fait de la contempler m'apaisait, dissipait mon angoisse pour m'emplir de sérénité. Elle m'était plus importante que tout, ma grossesse m'ayant totalement transformée. Je perdis mon sourire en repensant au Club. Lorsque je l'ai rejoint, je n'avais alors pas conscience de faire une erreur, trop persuadée que rejoindre leur croisade contre les humains était le meilleur moyen pour moi de ne plus subir l'étouffante solitude auquelle ma condition de mutante me condamnait. Solitude que je ressentais depuis mon adolescence, principalement après que mes parents ai appris ma mutation. Mes relations avec eux, mon père principalement, déjà bien peu glorieuses s'étaient encore plus détériorées. Il ne levait pas la main sur moi mais m'ignorait totalement, et son regard plein de dégoût pour le monstre qu'était sa fille me faisait plus souffrir que je ne le laissait voir. Fort heureusement pour moi, ma solitude était comblée par mon ex-petit ami, lui aussi mutant, et donc l'unique personne à pouvoir me comprendre. Petit ami que je quittais en même temps que mon pays gallois natal pour venir m'installer en Amérique. Et ce fût quelques temps après mon arrivée que je rejoignit le Club. Je ne gravis jamais les échelons hiérarchiques, demeurant une simple sous-fifre, mais cela m'importait très peu. Avec eux, j'avais en effet l'impression d'être totalement différente. La jeune fille rejetée des autres était devenue une jeune femme très orgueilleuse, parfaitement sûre d'elle, extrêmement manipulatrice et prête à tout pour avoir ce qu'elle voulait. Tout ce qu'il fallait pour être une Damnée. Pendant plus de sept ans, je suivis Sebastian Shaw et ses sbires dans ses projets. Ses idées avaient fasciné la jeune mutante naïve que j'étais alors, et m'avaient convaincues d'obéir à ses ordres sans me poser de questions. Ou si je m'en posais, je les gardaient pour moi ou ne les posaient qu'avec hésitation, ne voulant pas avoir l'air de contester ses décisions. Je n'avais pas d'état d'âme à accomplir ce que l'on m'ordonnait, savoir si oui ou non mes actes allaient faire des veuves et des orphelins, si des innocents allaient mourir ou non m'était égal. Je devais tout faire pour satisfaire les desseins du Club. J'ai maintenant conscience d'avoir agit comme un petit chien bien dressé que comme une personne capable de raisonner convenablement. Ce qui m'a fait changer ?Un humain. Un simple humain. Car quand vous rencontrez un simple humain, que vous pourriez tuer sans problèmes, et que celui-ci arrive à vous ouvrir les yeux sur ce que vous êtes et pourriez être, que pouvez-vous faire ?Vous pourriez prendre la solution de facilité. L'oublier et continuer à vous perdre...non pas tomber amoureuse de lui. C'est pourtant ce qui se passa pour moi. Après une simple mission, j'étais allée prendre un verre dans le premier pub devant lequel je sois passée, envoyant balader tous ceux voulant me draguer sans ménagement. Tout ce que je voulais, c'était boire plus que de raison pour oublier les suppliques et le visage figé en une dernière grimace d'horreur et de souffrance de l'homme dont j'avais dû prendre la vie. Puis il m'a abordée, me demandant pour quelle raison une aussi jolie jeune femme que moi pouvait apprécier de boire autant. J'aurais pu l'envoyer voir ailleurs comme tous les autres mais sa présence près de moi, son sourire si chaleureux, son humour et sa gentillesse envers moi m'ont poussée à lui parler. Pas de tout bien entendu, mais assez pour me soulager...Ce fût notre premier rendez-vous, suivi de bien d'autres. Je n'étais pas quelqu'un de bien démonstrative dans mes sentiments mais cela ne le gênait pas. Au contraire, il me laissa le temps de pouvoir exprimer ce que je ressentais à son égard. Mais mon petit monde s'écroula lorsqu'il m'annonça son futur départ quelques mois après notre rencontre. Pourquoi faut-il que les meilleurs hommes soient ceux qui préfèrent les relations aussi intenses que brèves ?Il m'aimait réellement, mais pas assez pour rester faire sa vie avec moi. Il n'a jamais su que j'étais enceinte. Mais puisque je l'étais, je ne pouvais demeurer au sein des Damnés, ma vie et celle du bébé étant menacées si jamais l'un d'eux le découvrait. J'avais certes transgressé une règle du Club, mais la mort de Sébastien Shaw après le fiasco de Cuba fût une excellente opportunité de fuir. Qui se rendrait compte de mon départ de toute manière ?Un sanglot me tira de mes pensées et je pris Liz dans mes bras pour la calmer et la berçait doucement.
-Tout va bien ma belle, Maman est là...
Ma fille serrée dans mes bras, je descendis dans la cuisine pour lui faire chauffer un biberon. J'ignorais si me réveiller en pleine nuit à cause de mes cauchemars l'affectait mais elle se réveillait toujours en pleurant, jusqu'à ce que je vienne la prendre contre moi pour la consoler. Et elle finissait également par se rendormir lorsque je pensais à autre chose que mes mauvais songes. Après le biberon, j'allais la recoucher puis retournais une fois encore dans la cuisine pour prendre une tasse de thé. Tout en le dégustant, je replongeais dans mes pensées. Faire chauffer un biberon, changer une couche, la bercer pour l'endormir le soir...Apprendre ma grossesse m'avait choquée, je n'arrivait en effet pas à m'imaginer être mère. Et cela, je ne l'avait fait qu'en tenant Liz dans mes bras pour la première fois. J'ai eu peur, bien entendu. Quelle mère ne l'a pas été ?Avoir peur de ne pas être à la hauteur, peur d'être une mauvaise mère en l'élevant toute seule, son père...Mais chacun de ses sourires, chacun de ses rires, chacun des instants passés avec elle me confortait dans mon opinion d'avoir réussi. Et je ne comptais pas laisser mes anciens "collègues" venir me gâcher la vie s'ils venaient à me retrouver. Le Club des Damnés faisait partie de mon passé, un passé mort et enterré. Nous avions perdu, je n'avais plus aucun intérêt à y rester. J'étais une femme et une mère parfaitement respectable désormais.
behind the screen
| PRENOM/PSEUDONYME ϟ Anaïs PAYS DE RESIDENCE ϟ France AGE ϟ 18 ans FREQUENCE DE PASSAGE ϟ Pas mal en semaine, même si le RP serait plus en week-end... OÙ NOUS AVEZ-VOUS TROUVE ϟ J'ignore s'il s'agit bien d'elle mais la Raven d'ici jouait sur un autre forum (X MEN FIRST CLASS RPG, malheureusement en fin de vie) et à laissé le lien de ce forum en disant que plusieurs membres de XMFC RPG seraient venus ici...D'où ma présence ^^ CODE ϟ Clothing was never an option COMMENTAIRE PERSONNEL ϟ Je ne pense pas ^^
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