DATE DE NAISSANCE ϟ 16 Novembre 1942

CARACTÈRE EN CINQ ADJECTIFS ϟ Bon vivant, Rieur, Confiant, Egoïste et Rêveur.

DONS ϟ Hydrokinésie: Nathan est capable de déplacer les mollécules d'eau avec sa pensée. Il arrive aussi à ressentir l'eau comme si elle était une partie de lui,

Stade 1: Nathan n'arrivait seulement qu'à déplacer l'eau qu'il voyait et cela lui demandait une qauntité faramineuse d'énergie et de concentration pour n'en déplacer ne serait-ce que quelque litre. De plus, la vitesse était loin d'être son fort à l'époque. Il n'arrivait qu'à savoir dans quelle direction il y avait de l'eau.

Stade 2: Aujourd'hui, Nathan arrive à déplacer l'équivalent de son poid en eau et de le faire avec une assez bonne vitesse. Cela requiert toujours une bonne concentration mais, il reste tout de même conscient de son entourage. Il arrive aussi à savoir quelle quantiter d'eau se trouve où par rapport à lui.

Stade 3: D'ici peu, Nathan pourra déplacer les mollécule constituant l'eau de sorte à ce qu'elle se fige en glace ou se dissippe en vapeur. La quantité d'eau déplaçable sans trop d'effort sera d'environ cinq à six fois son poid et il lui sera possible de déplacer l'eau sans la voir et avec une pression notable.

Stade 4: Son don, à ce stade, lui permettra de sentir l'eau comme s'il s'agissait de sa peau, de sorte que si quelqu'un marche dans une flaque d'eau dans les environs, il le sentira ou il pourrait se faire une carte mentale des canalisations d'un bâtiment. Sa maîtrise de l'élément sera assez bonne pour effectuer des prouesses de précision comme couper du papier sans le mouiller ou sècher des vêtement.

Stade 5: Après des années d'entraînement, il lui sera possible d'effectuer une pression asser forte pour entailler le métal. Son lien avec l'eau sera tel qu'il pourra ressentir la présence des gens dans les environs à cause de l'eau dans leur veines et, avec une concentration totale, même de contrôler les mouvements d'une personne.

CONVICTIONS ϟ Mutants, humains, noirs, blancs, hétérosexuels, homosexuels, bien, mal, nous, eux. Pourquoi faut-il donc toujours mettre des étiquette sur tout? On dirait que les humains n'arrive pas à concevoir que quelque chose puisse aussi être autre chose. La bible dit que Dieu a créer les hommes à son image. Cela ne voudrait-il pas dire que les mutants aussi le sont? En mon sens, Les mutants sont, selon Darwin, le chaînons suivant de l'évolution et donc, selon toute logique, le stade suivant nous rapprochant de Dieu lui-même. Il serait stupide de s'en prendre aux humains étant donnée notre suppériorité notable en force et peut-être même en nombre, qui sait? Mais si c'est la guerre qu'il veulent, je me déffendrez au meilleur de mes capacités et s'il s'avise de faire plus de mal que le Diable, je n'hésiterai pas à utiliser le don que le Seigneur m'a accordé pour leur faire comprendre qu'ils n'ont aucun droit sur nous. Nous sommes vivant, tout comme ils le sont et s'ils ne veulent pas que leur vie s'éteigne prématurément, je leur suggère de rester tranquille et de travailler sur leur acceptation parce que, tôt ou tard, les mutants seront l'espèce dominante de notre chère petite planète bleue.

we are the future, not them

Il me fait rire à chaque fois qu'on me demande de raconter l'histoire d'un personnage. Chaque fois, tout est à refaire. On peut toujours commencer par la naissance et l'enfance uoi que ce serait redondant. Je vais donc, aujourd'hui commencer par la fin en passant très vite en revue ce qui est très ordinaire. Nathan est né lors de la fin de la deuxième guerre mondiale. Son père a perdu la vie sur un porte-avion qui fut ciblé par les kamikazes japonais laissant Peggy, sa mère seule bien malgré lui. Il ne prit à la jeune veuve que quelques années pour retrouver mari en un soldat décoré revenant d'Allemagne suite à la fabrication du mur de Berlin.

Contrairement à ce que veut le cliché, le beau père ne fut pas le diable en personne et devint d'ailleurs plus un genre de meilleur ami pour Nathan qu'un père. Peggy quant à elle, ne se lia jamais à son fils ou encore à son nouveau mari et après dix ans de mariage, s'en fut fini d'elle. Elle disparût tout simplement sans prendre son fils de maintenant 13 ans avec elle. Notre protagoniste passa donc le reste de sa vie avec son beau père jusq'à l'âge de dix-neuf ans où il entra à l'université.

C'est à partir de là que les choses deviennent intéressante. Lors de son premier jour à l'Université, Nathan était assis sur son nouveau lit, un verre vide à la main, ce qui aurait du s'y trouver virvoltant autre de sa main droite lorsque qu'un autre jeune homme poussa la porte. L'eau en suspend se répendit sur le sol alors que le brun se releva rapidement en faisant semblant d'échapper le contenant.

-Merde! lança-t-il, faussement agacé.

Il s'élança vers la salle de bain pour aller chercher un serviette et revint dans la pièce principale aussi vite qu'il en était parti. Le nouveau venu s'approcha de son propre lit pour y déposer ses bagages. Nathan finit rapidement d'éponger le liquide répandu et se releva pour croiser le regard du colocataire. Il se mit à rire face à l'idiotie de la situation, espérant intérieurement que son secret soit toujours intact. Son compagnon de chambre mit à rire aussi et fit un pas vers lui en lui tendant la main.

-Je suis Jordan Connors, Médecine.

-Nathan Page.

Dès les premières semaines, les deux jeunes hommes devinrent rapidement amis, enchaînant les fêtes les unes aux autres. Nathan trouva en Jordan ce qu'il avait dû laisser derrière en quittant la maison de son beau père pour aller à l'université. Il multiplia les conquètes mais, ne laissa jamais personne percer son armure, ne voyant chacune d'entre elles qu'une seule fois. Il en faisait d'ailleurs sa règle d'or. L'étudiant en médecine, quant à lui, était loin du compte. Jamais le mutant ne le vit même parler d'une femme. Il le taquinait souvent sur ce sujet. Jordan était bon joueur et ne prennait rien de tout cela au sérieux. Comme il disait:

-C'est pas ici qu'on va trouver l'amour de notre vie.

-C'est pas ce que je cherche non plus, répliquait toujours Nathan en se moquant.

Un soir, après une beuverie plus ou moins légale, les garçons rentrèrent au dortoir. Ils poussèrent la porte en riant pour aucune raison et Nathan s'écroula sur le sol, viblement dans un état d'ivresse avancé. Jordan, lui, était encore plutôt sobre. Il prit donc Nathan par les épaules et le releva sur son lit. Le mutant se releva pour s'aseoir sans s'arrêter de rire et tenta de retirer son T-shirt sans grand succès. Jordan lui nna un coup de main, un sourire sur les lèvres.

-Qu'est-ce que tu fou!? ricanna Nathan.

-J'aide un pote défoncé à enlever son t-shirt et ller dormir, qu'est-ce que tu crois?! rétorqua Jordan,riant lui aussi.

-Je crois rien dutout moi, mais comme les filles te branchent pas... Faudrait pas que tu te jète sur moi.

-Et puis quoi encore, répondit-il, repoussant le colocataire sur le lit.

Ayant l'impression de perdre pied, Nathan agrippa le bras qui le poussa, entraînant son ami sur lui.

-Ooooh!

-Ah!

Jordan tomba sur son ami et prit quelque secondes avant de bouger, quelques secondes qui ne parurent comme si de rien pour Nathan qui avait perdu la notion du temps depuis longtemps à cause de l'alcool. Le lendemain matin, Nathan eut le pire mal de tête qu'il ait jamais eu et avais beaucoup de mière à se rappeller comment il était revenu jusqu'au dortoir.

Ce n'est là qu'une des nombreuses soirées. Tout son parcours universitaire se résuma à une succession de fêtes démentes et de cours plus ou moins intéressants. Jusqu'au jour où il fut accosté par ce professeur, un certain Charles Xavier qui lui dit qu'il savait pour lui et ses pouvoirs. Nathan ne compris d'ailleurs pas comment il avait su, vu que personne n'était au courant sauf lui.

Nathan entre en trombe dans sa chambre, l'air paniqué. Il fouilla sous son lit et en sortit deux grands sacs. Jordan ne comprenais rien à ce qui se passait. Le Nathan qu'il connaissait était toujours au dessus de ses affaires et jamais, en trois ans, il ne l'avait vu hors de controle de la sorte.

-Mais que se passe-t-il?
-Rien, répondit Nate, sans regarder son interlocuteur. Écoutes, il va falloir que je m'en aille, je te ferai parvenir l'argent pour le reste du mois.

Le mutant commença à vider ses tirroirs et remplir ses sacs avec, apparement, la ferme intention de disparaître sans laisser de trace. Il avait su garder son sang froid durant son entretient avec le professeur et rien n'allait le garde sur place maintenant que son secret était révélé.

-Ça va pas la tête?! Tu peux pas partir comme ça! Comment tu veux que je trouve un autre colocataire en plein milieu du semestre?!
-Je sais pas moi, mais je peux pas rester... je suis désolé.
-Mais veux-tu bien me dire ce qui se passe à la fin?
-Jordan, je peux pas t'expliquer et même si je pouvais, tu ne comprendrais pas.

Nathan finit de faire ses bagages et prit ses sacs avant de faire un pas vers la porte. C'est à ce moment qu'il remarqua que son ami s'était placer devant l'entrée.

-Comment ça je comprendrais pas?
-Jordan! Bouges! Je n'ai pas le temps pour ça!
-Mais va tu me dire ce que se passe `la fin?!
-Non!
-Je ne te laisserai pas passer tant que tu ne me fournira pas une bonne explication. Qu'est-ce qui t'arrives, ça ne te ressemble pas dutout tout ça. Si t'as de problèmes...
-Je n'ai pas de problèmes, coupa Nathan.
-Nate... me prends pas pour une poire, il se passe manifestement quelque chose. Fais-moi confiance, on va trouver une solution.

Nathan se laissa tomber, assis, sur son lit, en soupirant bruyament. Les deux garçon s'étant tûts, la pluie se fit entendre. Il pleuvait des cordes à l'extéreur depuis presqu'une heure. Nathan semblait tiraillé quant à ce qui allait suivre. Il leva la main vers la fenêtre entrouverte et dis à voix basse:

-Quelle solution peut-il bien y avoir à ça?

Sans même que Jordan puisse rétorquer, plusieurs litre d'eau s'infiltrèrent par l'embrasure, innondant le sol. L'humain se précipita alors vers l'ouverture pour limiter les dégâts, n'ayant apparement rien compris.

-Merde, il y en a partout. Attends... je vais m'en occupper.
-Jordan, c'est pas la peine.
-Mais si, t'inquiètes.
-Jordan! haussa Nathan, courroussé.

Nathan s'était relevé et l'eau en avait fait autant. Le mutant leva lentement les mains et les rapprocha l'une de l'autre. Le liquide forma alors une boule qui resta en suspenssion. Bouche-bée et les yeux ronds, le colocatataire resta figé. Nathan réouvrit la fenêtre et fit sortir l'eau avant de la refermer.

-Comment on chuchota peut trouver une solution à moi, chuchota presque Nathan en se retournant vers son ami qui était toujours abbsourdit par ce qu'il venait de voir.
-Une solution à toi?! Mais ça va pas la tête?! C'est là une manifestation physique de la théorie de Darwin! Comment est-ce que tu peux croire que c'est un problème?!
-Génial, maintenant je suis une preuve de théorie, j'en rêvais! lança le brun, avec sacasme abrupte.
-Tu sais très bien que ce n'est pas ce que j'ai voulu dire...
-Alors qu'est-ce que tu voulais dire? trancha le mutant.
-Que c'est génial, que TU es génial, et que c'est pas un peu d'eau qui va changer quoi que ce soit.

Nathan eut un léger mouvement de recul, questionnant son interlocuteur du regard. Apparement, Jordan était véritablement son ami, mais la réalité du danger revint vite au galop:

-Mais personne ne peut le savoir, Jo! Si ça se savait, on oudrait me disséquer pour savoir d'où sa vient et je tiens à l'intégrité de mon corps. Déjà que ce professeur Xavier est au courant...
-Wooo... C'est qui ça Xavier?!
-Un gars, en chaise roulante, qui est venu me dire qu'il savait tout et qu'il voulait que j'aille avec lui dans je sis pas quelle école...
-C'est donc là que tu t'en allait comme ça...
-T'es malade, je partais dans l'autre direction au plus vite, tu veux dire.
-Mais pourquoi?
-T'as pas compris la partie sur la dissection?! Je le connais pas ce type.

Nathan expliqua le bref entretien qu'il avait eut avec Charles.

-Et ça ne t'as pas traversé l'esprit qu'il disait la vérité? Si ça se trouve, lui aussi c'est un mutant sinon comment aurait-il su pour toi?
-Je l'ignore et c'est pour ça qu'il faut que je m'en aille.
-T'as raison qu'il faut que tu t'en aille! Il faut absoluement que tu aille dans cet école spécialisée!
-Quoi?! Pas question que j'y aille!
-C'est le seul endroit où tu pourra en apprendre plus sur ce qui t'arrive! Et puis, c'est pas comme si les cours ici étaient si intéressants...
-Mouais...
-Vas-y, et dans le pire des cas, tu t'en va. C'est pas comme s'il pouvait te garder là contre ton gré, t'as des droits ici. On est pas en Russie, blagua Jordan.
-Bon d'accord mais, si ça me plaît pas, J'me barre!
-Comme sion allait pouvoir t'en empêcher, se moqua le blond.

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