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eh, mademoiselle, t'es charmante...

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Artemisia N. Southwell


Artemisia N. Southwell

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MessageSujet: eh, mademoiselle, t'es charmante... eh, mademoiselle, t'es charmante... Icon_minitimeVen 30 Sep - 20:42

eh, mademoiselle, t'es charmante... Tumblr_lrvjp3mpiw1qfgcl6o2_400
... ça t'dirais une glace à la menthe ?!
Mais d’où vient l’émotion étrange qui me fascine autant qu’elle me dérange.
Je frissonne poignardé par le beau c’est comme dans l'âme le couteau
.

    Un baiser volé, et un frère abandonné. Pas pour longtemps, car les séparer est presqu'un crime, et de toute manière Artemisia ne peut se résoudre à rester loin de lui. Alors en se promenant dans les rues du Time Square, ses yeux se promènent sur les grands magasins puis se focalisent essentiellement sur les personnes, pressées. Avec son air adorable, elle flâne entre les passants et regarde le Starbucks Coffee avec envie... Le seul soucis c'est qu'elle a pas d'argent sur elle, et lorsque Artemisia veut quelque chose, généralement elle l'obtient. Elle se met alors à courir entre les gens, jusqu'à en bousculer une, manquant de tomber, mais se rattrape de justesse. « Oh, je suis vraiment désolée, je suis maladroite. » Un sourire sur son air d'ange et la femme ne prend pas la peine de râler, et reprend son chemin. La mutante s'enfuit alors dans une ruelle, juste à côté du Coffee, avant de sortir de sa poche un porte monnaie dérobé à l'instant. Il contient assez pour au moins deux cafés, et des gâteaux, ça ferait assez pour son frère et elle. Mais dans cette ruelle, ce qu'elle ne voit pas, c'est un homme qui s'approche d'elle et l'attrape par le poignet. « Bah alors ma jolie, t'as besoin d'argent ? Tu sais que je peux t'aider ? » Et sa seconde main glisse jusqu'aux fesses de la demoiselle. Artemisia ne bouge pas, lançant à peine un regard au jeune homme, ses yeux bleus fixant plutôt les doigts sur son poignets. Vous voyez, l'eau du corps ? La jeune Southwell est la seule à la voir, distinctement, comme si elle courait dans tout le corps, à la place des veines, c'est une rivière. Alors les doigts de la jolie blonde entourent à son tour le poignet et ses yeux fixent finalement l'homme. « L'eau pour ton thé, tu la préfères chaude ou froide ? » L'homme la regarde, perplexe, avant d'éclater de rire. « Chaud, idiote. » « Moi aussi. » Et du bout de ses doigts, elle fait chauffer l'eau du corps, pour le faire bouillir de l'intérieur, pour qu'il meurt, pour que plus jamais sa main ne se pose sur elle. Et lorsqu'il tombe au sol, dans un bruit sourd, camouflé par la foule, la jeune femme se recule pour retourner vers la rue.

    Mais là, un autre homme l'observe. Bon, deux dans la même journée, dans la même minute, c'est pas abusé ? Déconcertée, Artemisia s'approche de cette deuxième personne, et s'il le faut elle les tuera tous. Qu'on ne la cherche pas dans ses mauvais jours, sinon elle allait tous les noyer. Et lorsqu'elle s'approche de cet homme, elle n'arrive même plus à se contenir, et sa voix résonne, contrastant avec son physique de poupée. « Quoi, toi aussi tu veux me baiser ?! » Elle en aurait craché parterre, et puis, il faut dire qu'elle ne prend pas de gant. Et ce sourire amusé sur ses lèvres lorsqu'elle arrive à ses côtés, Artemisia le déteste rien que pour ça. Il se pense supérieur ? Et alors qu'un sifflement se fait entendre entre ses dents, elle tend sa main en avant, pas besoin de contact lorsque la colère et la peur sont là, juste l'envie de faire mal suffit. Et puis merde, elle voulait que son café à la base ! Et lorsqu'elle arrive enfin près du jeune homme, elle peut voir son visage entièrement, et finalement coucher avec lui ne semble pas si mal, il est plutôt canon. Sauf que c'est juste la colère qui parle, et ses doigts se dirigent vers le cerveau, et finalement non : le coeur. Les deux organes qui contiennent le plus d'eau après le sang, et elle commence à faire bouillir l'eau, maîtrisant son art avec perfection, même si elle sait que le processus est long. « T'es comme cet enfoiré, c'est ça ?! » Dans le fond, on peut se dire que Artemisia est blessée, en surface, on se dit juste que c'est une fille qui ne se laisse pas faire. Sauf que la personne en face ne semble pas vraiment du même avis.

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Erik Lensherr

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MessageSujet: Re: eh, mademoiselle, t'es charmante... eh, mademoiselle, t'es charmante... Icon_minitimeVen 30 Sep - 23:43

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He would always win the fight...
Bang, bang! My baby shot me down.

Le temps... Pourquoi fallait-il toujours courir après ? Comme tous les jours depuis près de trois mois, il s’était levé à la hâte après avoir détruit son réveil matin et était sorti en furie de son lit pour se rendre sous la douche. Là encore, le mot traîner ne faisait pas parti de son vocabulaire. S’habillant à toute vitesse, il en oublia Raven toujours endormie au fond de ses draps et parti sans se retourner. Comme d’habitude, son activité principale de la journée consisterait à rencontrer tel et tel PDG de la multinationale *****, négocier et revoir des compensations financières d’actions en chute libre, organiser diverses prises de bénéfices… On ne pouvait pas dire que surveiller les indicateurs de Wall Street était une passion, et pour cause, Erik Lensherr détestait cela. Néanmoins, s’il désirait mener à bien ses plus ambitieux projets, il était conscient plus que quiconque des enjeux et surtout des conséquences des actes que ces derniers impliquaient. Quitte à subir tous les courtiers de New-York. Le prix à payer n’était rien à côté de ce que serait le monde une fois mis entre les mains de la race dominante sur la planète. Les mutants.
Il arrive qu’on tombe sur les choses les plus incroyables au moment où on s’y attend le moins. C’est l’esprit occupé par ces importantes questions abordant la façon dont ces derniers devaient se révéler au monde, et surtout à la manière dont il tiendrait le monde dans le creux de sa main, que ses yeux se posèrent sur une silhouette quelconque. Times Square était le pire des endroits à fréquenter quand on n’était pas amateur de bains de foule, mais c’était également un lieu exécrable dans lequel les taxis allaient plus lentement qu’une grand-mère en fin de vie. Tout en ne quittant pas des yeux l’objet sur lequel sa vue s’était arrêtée, il sortit de l’automobile jaune qu’il paya sans même faire attention à la somme qu’il abandonnait aux yeux exorbités du chauffeur. L’objet en question s’avérait être une jeune femme blonde en pleine tentative de vol. Technique relativement banale : une vulgaire bousculade. Sourire en coin, Magneto s’apprêtait à regagner le sous-terrain et à oublier l’image furtive de ce dont il venait d’être témoin, cependant autre chose capta son regard. Un homme se dirigeait vers elle d’un pas décidé, et, étrangement, il ne lui n’inspirait rien de bon. Desserrant nerveusement sa cravate, il toisa les deux protagonistes de la scène qui se jouait face à lui. L’homme était plutôt petit, brun, assez en chair… Et Erik crut percevoir une flopée de boutons sur son visage. Quant à elle, des boucles blondes déferlaient en cascade sur ses épaules maigres. Elle devait mesurer à vue d’œil un bon mètre soixante-dix. Mais ce n’est pas tant son physique qui l’intéressa, plutôt le magnifique tour de passe passe que rapidement elle exécuta et qui le laissa un moment ébahi. Sur le point de la saluer, il se laissa prendre au dépourvu : Elle se dirigeait vers lui après avoir laissé l’ignoble créature pour morte, gisant au sol tel un insecte de la pire espèce. « Quoi, toi aussi tu veux me baiser ?! T'es comme cet enfoiré, c'est ça ?! » Il arqua un sourcil d’un air interrogateur, son sourire n’ayant pas quitté les traits de son visage. « Pas exactement. » Il remarqua ses doigts qui se levèrent en direction de son cœur, mais n’eut pas le temps de réagir, déjà une douleur lancinante le prit à la poitrine, poussant à croire que l’infarctus n'était pas loin. Dans la panique, il ressentait toujours le métal des pièces qu’elle venait de voler grossièrement au fond de ses poches. Il s’y raccrocha comme à une bouée de sauvetage, ultime espoir avant de connaître une morte aussi funeste que l’obsédé qui s’était adressé à la blondie en furie. Les pièces lévitèrent alors et s’enfonçèrent soudainement dans sa peau de porcelaine, tout contre sa gorge, juste assez pour qu’elle relâche toute emprise sur l’un de ses organes principaux, mais assez aussi pour lui laisser de belles traces rouge sang. Les pièces tombèrent au sol et il lui jeta un énième regard, cette fois plus insistant, accompagné d’un sourire à double tranchant qui signifiait tout à la fois « ramasse » et « vas en enfer ».
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Artemisia N. Southwell


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MessageSujet: Re: eh, mademoiselle, t'es charmante... eh, mademoiselle, t'es charmante... Icon_minitimeSam 1 Oct - 9:56





Je feindrais ma mort pour que tu me prennes dans ton exode. Je me suis perdue au printemps de la vie, tant pis, je t'en remercie de tout coeur. La faim au ventre, je t'étouffe de mes bras, te prouve mon ardeur, tu manques à mes tissus sans chaleur.

    « Pas exactement. » La phrase la surprend, mais Artemisia ne réagit pas plus, dictée par la colère, son coeur est en flamme. Alors, lorsqu'elle tend ses doigts sur son coeur, pour vider l'âpre liquide d'humeur, elle est loin de se douter que la personne en face est aussi un mutant. Ce n'est que lorsqu'elle voit ses pièces sortir de sa poche qu'elle relâche un peu sa prise... Mais quoi, il essaye de la voler ? Non, de se protéger. Et lorsque les pièces viennent se plaquer dans sa gorge, elle perd toute emprise sur le mutant face à elle, sa main se portant à son cou, elle a l'impression d'étouffer. Et lorsque les pièces tombent, Artemisia porte ses mains à son cou, retenant une légère toux, avant de redessiner les traces dans son cou. Sans un mot, elle n'arrive pas à détacher ses yeux de ceux du jeune homme, son sourire la laisse perplexe, et à vrai dire elle le prend plus comme un " ramasse " qu'autre chose, après tout elle en a besoin de cet argent. Alors sans un mot, Artemisia s'agenouille pour ramasser les pièces et remettre dans sa poche, avant de lancer un regard en coin au mutant. Finalement elle se redresse et, tel un chat sauvage, elle s'éloigne, le dos un peu rond. Si elle se mettait à cracher, ça ne serait même pas bizarre. Mais pour l'instant, derrière sa cascade blonde, elle observe, comme un animal, et finalement ses lèvres se peint d'un sourire doux. « Qui es-tu ? » Si son monde ne tourne qu'autour de son frère depuis toujours, et depuis peu autour d'Enoch aussi, elle n'a jamais entendu parler des différentes pensées entre Charles Xavier et Erik Lensherr. Oui, c'est pire que tout là, on voit bien qu'elle ne s'intéresse pas à grand chose. Alors, telle une féline, elle se glisse jusqu'au jeune homme, comme à présent une bête intriguée, elle s'avance à ses côtés, dressant toute sa taille devant lui pour pouvoir le regarder droit dans les yeux. Elle ne comprend pas, comment se fait-il qu'elle n'arrive pas à détacher ses yeux des siens ? Et elle, l'ange blond, déchu depuis bien longtemps, et si frêle, elle peut se faire briser en deux. Mais elle n'a plus peur, elle est trop attirée par ce visage et ce pouvoir. « Comment tu fais ça ? » Elle parle de son pouvoir, intriguée, elle veut tout en savoir, il a l'air potentiellement dangereux, et ça l'attire.

    Comme si l'attirance était toujours présente, dans son corps, ancrée jusque dans ses mains, Artemisia glisse ses doigts le long de sa joue. Elle ne se doute même pas une seule seconde qu'il peut la tuer, tout comme elle vient de tuer cet homme dans la rue. Et ses yeux bleus qui suivent le tracé de ses doigts semblent tellement perdus et fascinés, que quelque part, on peut se rendre compte de la fragilité mentale de la jeune femme. Et lorsque,enfin, Artemisia semble prendre conscience de ses gestes, elle recule sa main, recule son corps aussi, et reprend ses airs de chat sauvage. Le cygne vient de se transformer, il n'est apparu qu'une demi-seconde, juste le temps de cette caresse. A présent, dans ses yeux bleus, il n'y a plus rien qu'on peut lire à part la crainte, et la distance que la jolie Southwell vient de mettre entre eux. « Désolée. » On ne sait pas vraiment si c'est pour l'attaque et l'envie de le tuer, ou bien pour le toucher. Et lorsqu'elle dit ce simple mot, Death Eaters se souvient du corps laissé derrière elle. Elle glisse un regard en coin à cet homme, si écœurant soit-il, avant de reporter son attention sur l'homme face à elle. Oui, ce n'était pas du tout la même chose, et étrangement, elle n'avait pas envie de s'enfuir en courant, comme elle l'aurait fait en temps normal.
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Erik Lensherr

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Erik Lensherr

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MessageSujet: Re: eh, mademoiselle, t'es charmante... eh, mademoiselle, t'es charmante... Icon_minitimeDim 2 Oct - 20:10

eh, mademoiselle, t'es charmante... Tumblr_ls0kplcovf1qf51cbo1_500

I've got 99 problems, and a bitch ain't one.

Sur le point de défaillir, il fit la première chose qu’il lui vint à l’esprit, ignorant s’il irait jusqu’à la tuer. Mais après tout, si c’était elle ou lui, il faudrait bien choisir… Et étrangement, le choix ne serait pas bien difficile à faire. En dépit de la douleur il parvint à agir : Les pièces de monnaie contenues dans sa poche s’élevèrent pour se planter dans sa gorge, suffisant par bonheur à rompre l’emprise qu’elle avait sur sa poitrine. Il se remettait à peine de l’émotion qui avait quelque peu fait rougir ses joues, pourtant, pressant nerveusement ses lèvres l’une contre l’autre, il esquissa de nouveau un sourire sur son visage, suspendu entre l’intrigue et la colère. Une colère que blondie ne partageait plus. Les pièces retombèrent au sol, la libérant à son tour des méfaits de sa mutation. Le magnétisme était indiscutablement un don du ciel, et cet instant ne manqua pas de le lui rappeler. Erik lui lança un regard noir , prêt à agir de nouveau à chaque seconde, mais à sa grande surprise elle se baissa et ramassa son butin. Misérable, pensa-t-il. Finalement, elle se releva et plongea son regard bleu dans ses iris d’acier. Que se cachait-il dans la mer de ses yeux ? Il n’en avait pas la moindre idée, mais semblait s’y fondre dans le vain espoir de le découvrir. Elle aussi le dévisagea, comme un animal, et dans son admiration la fascination fut communicative. Ses lèvres s’étirèrent sans crier gare, et cette fois avec douceur, elle s’adressa encore une fois à lui. « Qui es-tu ? Comment tu fais ça ? » « Ca ». Il ne put réprimer un second sourire, attendri cependant par l’ingénuité de la question. Ca. Elle était probablement aussi à même que lui de donner un nom à leurs étranges prédispositions, quelque chose d’un peu plus précis que juste « ça ». L’autocensure dont faisait preuve la jeunesse était exaspérante. Il n’y avait aucune honte à exprimer haut et fort qui l’on était véritablement devant une foule d’ignorants. Eux-mêmes étaient incapables de prendre conscience de l’ampleur et de la signification véritable d’une telle révélation.

Humectant brièvement ses lèvres, il hésita à répondre si vite. Trop vite. Après tout il avait tout son temps, le banquier attendrait, et cette petite chose lui rapportait certainement plus que quelques malles de coupures de cent. Elle effleura sa joue, et au semi-contact de ses doigts fins il ferma les yeux. En les rouvrant il considéra le cadavre qui gisait toujours sur le bitume, ainsi que la foule qui, prudemment, les contournait pour poursuivre sa route. « Désolée. » Il arqua un sourcil et se décida à répondre. « Excuses acceptées. Magneto. » Bientôt les passants s’apercevraient de l’odeur putride que commençait à dégager la dépouille de l’homme au sol. Il jeta un coup d’œil autour d’eux, puis aux pièces qu’elle avait ramassé et qu’elle tenait fermement dans sa main. Elle devait probablement être affamée, et lui aussi d’ailleurs, commençait à avoir une petite faim. « Je te dirais tout ce que tu veux savoir autour d’un café bien chaud, qu’en dis-tu ? ». N’attendant pas sa réponse il prit sa main et retourna dans le courant new-yorkais, se frayant un chemin jusqu’à atteindre la porte du Starbucks, qu’il ouvrit en un claquement de doigts. Quelques secondes plus tard ils se trouvaient dans la queue de commande, aussi longue qu’à l’accoutumée. Ne prêtant pas attention à la carte il se concentra sur sa nouvelle amie. « Où en étions-nous ? Comme je te l'ai dit, je m’appelle Magneto. À qui ai-je l'honneur ? »
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MessageSujet: Re: eh, mademoiselle, t'es charmante... eh, mademoiselle, t'es charmante... Icon_minitime

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