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CHARLES ♣ i can read on your poker face.

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Charles Xavier

*ton dieu
directeur de l'institut.

Charles Xavier

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cherche.


CHARLES ♣ i can read on your poker face. Vide
MessageSujet: CHARLES ♣ i can read on your poker face. CHARLES ♣ i can read on your poker face. Icon_minitimeMer 27 Juil - 18:54



CHARLES ♣ i can read on your poker face. Tumblr_louoloWJ2Y1qe9r2fo1_500
tumblr ϟ feat. James McAvoy
charles francis xavier , professeur x

28 ANS ϟ X-MEN ϟ PROFESSEUR EN GENETIQUE , DIRECTEUR DE L'INSTITUT ϟ AMERICAIN


DATE DE NAISSANCE ϟ 9 Juin 1935.

CARACTÈRE EN CINQ ADJECTIFS ϟ confiant ϟ charmeur ϟ optimiste ϟ trop idéaliste ϟ groovy

DONS ϟ Télépathie. Charles est surement l'un des télépathes les plus doués au monde. Il entre en contact facilement avec les esprits qui l'entourent, dont il peut lire les pensées, et avec qui il peut aussi communiquer ; il peut aussi accéder à leurs souvenirs, connaître leurs peurs et leurs espoirs. Il a la capacité de manipuler toutes ces choses, d'effacer des souvenirs, ou de faire voir ce qu'il veut à quelqu'un, ou de presque en prendre possession, mais il n'abuse jamais de son pouvoir, respectant trop les choix et l'individualité des autres, humains comme mutants. Son potentiel est largement accru quand il est relié à la machine Cérébro, qui lui permet de scanner presque le monde entier, - et, selon la rumeur, quand il passe une soirée trop arrosée au pub -.

CONVICTIONS ϟ Tout part d'un rêve pour Charles, celui de voir les hommes et les mutants cohabiter. Ca semble peut-être ridicule, faible, impossible, mais pour Charles, cela peut devenir réalité. Bon d'accord, il faut l'admettre, c'est un peu un hippie. “ Faisons l'amour, pas la guerre ! „ semble-t'il vouloir dire au reste du monde. Mais au-delà de son côté bisounours, Charles est vraiment convaincu que la paix est la meilleure solution, contre la souffrance et toutes ces choses qui mettraient le monde à feu et à sang. L'évolution, la nature n'ont pas à être si violente, on peut être juste plus humains. Et ne pas chercher à faire le mal autour de soi. Car à force de toucher tant d'esprits, il a vu les ravages que cela peut causer.


we are the future, not them

Je ne sens plus mes jambes. La phrase résonne dans sa tête. Encore. Elle sonne encore comme un couperet, comme la guillotine qui lui aurait coupé ses deux jambes, comme la fin de quelque chose, la fin d'un monde. Plus que la douleur, plus que les sensations dans ses jambes qui s'effacent, c'est cette phrase qui sonne et résonne dans sa tête comme la fin du monde. “ Je ne sens plus mes jambes ! „ répète t'il, à voix haute. Il les sent alors se dérober sous le poids de son corps, alors qu'il essaie de s'appuyer tant bien que mal sur sa canne et le mur du couloir. “ Je ne sens plus mes jambes ! „ répète t'il, à voix plus basse, alors qu'il peut sentir une larme lui couler sur la joue.
Il sait tout ce que cela signifie, perdre ses jambes. Devenir un handicapé, vivre dans un fauteuil, il ne veut pas que ça arrive, il ne veut pas dépendre de l'assistance des autres, ou de celle d'une machine. Il était autrefois grand, indépendant, séduisant, même. Et la balle qui lentement détruit ses jambes l'a comme coupé dans son élan. “ Charles ! Arrête ! Tu te fais du mal à essayer de marcher ! „ Moïra accourt et passe sa main sous sa taille pour l'aider à se soulever, mais à peine l'a t'elle touché que, un peu brutalement, il se défait de son étreinte. “ Je peux me débrouiller tout seul, je n'ai besoin de personne, Moïra. „ Son regard est dur, et il essaie tant bien que mal de cacher la larme qui a coulé tout à l'heure. Moïra croise les bras et décide donc de le laisser se débrouiller tout seul, son petit air de défi, et la femme forte qu'il peut sentir poser son regard sur lui fait sourire Charles, et lui fait perdre un peu, enfin, la dureté de son regard, et l'amertume dans sa bouche. “ Je suis désolé, je ne voulais pas te rejeter comme ça. Je veux juste... marcher. „ “ Il faut que tu t'y fasses Charles, tu ne pourras surement plus jamais marcher normalement. „ “ Tu crois que je ne le sais pas ? Mais... j'ai envie de continuer. „
Il sait trop bien tout ce que cela signifierait, perdre ses jambes. C'est un peu perdre pied, perdre ce qui le tient sur terre, et ensuite, perdre la tête, en quelque sorte. Tout perdre, bientôt. Pourtant, il a déjà l'impression d'avoir tout perdu. Mais il n'a pas perdu Moïra. Pas encore. Car il sait déjà ce qu'il devra lui faire, afin de préserver son anonymat, et celui des siens. Mais elle est la seule qui a décidé de ne pas le perdre, de ne pas l'abandonner, et Charles regrette déjà ce qu'il s'apprête à faire, lui effacer la mémoire. C'est peut-être la dernière fois qu'il la voit, aujourd'hui. En la regardant, un sourire en coin, il ne peut s'empêcher de reconnaître un peu de Raven dans cet air déterminé et malicieux. Qu'il aimerait qu'elle soit auprès de lui, aujourd'hui... Mais il l'a perdue, elle aussi. Par sa propre faute, pour n'avoir pas pu lui donner ce qu'elle voulait, l'accepter comme elle est. Il espère, un instant, qu'elle se serait cachée sous les traits de Moïra MacTaggert, et que, d'un instant à l'autre, son sourire bleuté va s'accompagner d'un clin d'œil, et qu'elle va le serrer dans ses bras.
Mais c'est bien Moïra qui se tient en face de lui. “ Charles, à force de marcher, tu te fais encore plus de mal, tu aggraves le problème. Viens te mettre dans le fauteuil, juste... pour qu'on puisse aller faire un tour. „ Charles fronce les sourcils et se résigne à prendre la main que lui tend Moïra et à marcher jusqu'à sa chambre, où le fauteuil, cette grosse chaise roulante en métal, qui lui fait surement plus peur que la guerre nucléaire, l'attend. “ On pourrait aller boire un verre, Moïra ? „ “ Au pub, bien sûr ! Pour que tu finisse encore dans tes chaussettes, à jouer avec les esprits de tout le monde ? Non merci ! „ Comme un enfant à qui on vient de refuser son jouet préféré, Charles fait la moue. Il n'avait envie que de ça – en plus de pouvoir marcher à nouveau – aller au pub, boire jusqu'à plus soif avec ses amis, tout oublier, draguer, charmer les jolies filles en un rien de temps, parce qu'il sait ce qu'elles veulent avant même qu'elles ne le sachent elles-mêmes. Mais qui voudrait d'un handicapé ? Au moins la canne, ça donne un air, certes plus de jeune homme fringant, mais d'un homme, un vrai, un dur, une sorte de pirate, à la jambe de bois. Lui, Charles Xavier, un pirate. On aura tout vu, mais cette idée au moins, ça le fait sourire.
Passant son bras sous le sien, Charles marche aux côtés de Moïra, lentement, car il n'y a aucun besoin de se presser, goutant le plaisir de cet instant, où certes, ses jambes lui font mal, mais où la douleur est un peu apaisée par la présence de cette charmante jeune femme qu'est Moïra MacTaggert. Et quelle femme ! Une femme de tête, une agente du FBI. Qu'il se sent fier à ses côtés ! Il se sent même pousser des ailes, qui lui permettrait de voler, de s'élever, de ne plus jamais craindre de devoir marcher, et de faire face à cette douleur paralysante qui lui prend les jambes. Il aurait aimé voir la tête de son père, quand il lui aurait présenté Moïra, et l'air déçu qu'il aurait affiché quand il aurait vu ses vêtements, pas d'une si grande marque que ceux qu'il offrait à sa femme, quand il aurait su quel était son métier, une vulgaire policière, avec juste une plaque plus jolie que les autres. “ Tu aurais pu trouver mieux, mon fils. „ aurait-il alors dit, comme le jour où Charles lui avait présenté celle dont il avait fait la sœur qu'il n'avait jamais eu, Raven. Et encore, il lui évita la crise cardiaque en la présentant sous son meilleur jour, où en tout cas, celui qui ne lui vaudrait pas d'avoir la mort de son père sur la conscience, celui de la jeune femme blonde, déjà trop affirmée, trop différente pour ce qu'il pouvait supporter. Mais il est fier, lui Charles Xavier, d'avoir pu un instant, marcher aux bras de jeunes femmes aussi sublimes que Raven et Moïra. Il ne l'a pas toujours été, fier. Il s'est senti différent, il s'est cru rejeté, il a eu peur, de lui-même, des autres. Tous ceux qui s'appellent aujourd'hui des mutants sont passés par là. Il y a ceux qui n'en seront jamais fiers, il y a ceux qui ont su le devenir. Charles est fier certes, fier de ce qu'il peut accomplir, de tout le bien qu'il peut faire, mais il n'est pas fier comme le sont ceux qui ont suivis Erik, car il ne se sent pas si différent, et n'a pas besoin de brandir cette différence. Il se sent comme partie prenante de cette grande machine que sont le monde et l'évolution, et il n'y a finalement pas de quoi ressentir la honte ou la fierté. Ses seules fiertés sont finalement vraiment, d'avoir connu Raven, puis Moïra, puis même Erik.
Plus ils s'approchent de la chambre où est entreposé l'affreux fauteuil, plus Charles ralentit le pas, prétextant une plus forte douleur dans ses jambes. Mais raison de plus pour sa compagne d'infortune de le reposer au plus vite dans ce fauteuil. Charles se sent mal, à chaque fois qu'il s'assoit sur cette chaise de métal, froide et dure. Oh, un coussin en améliore le confort, mais rien ne vaut la fierté, et la dignité qu'on a à se dresser sur ses jambes. A chaque fois qu'il se tient là, assis, plus bas que les autres, il ressent comme un pincement au cœur. Il se retrouve plus bas que tout le monde. Il se sent humilié, en quelque sorte. C'est pourquoi souvent, il préfère la compagnie des enfants, parce qu'en plus d'avoir gardé son âme d'enfant, et d'apprécier la leur, ils sont les seuls qui se situent à sa hauteur, et ne prétendent jamais le toiser. Mais il y en a d'autres qui préfèrent se mettre à sa hauteur, comme Moïra, qui s'assoit dans le fauteuil juste en face, et se penche vers lui, un sourire accroché sur ses lèvres. “ Tu n'as jamais été aussi belle que vue d'ici, parole d'estropié. „ Le sourire de Moïra se fait plus vif, et Charles croit bien qu'il n'a pas tout perdu de ses dons de charmeurs. “ Même estropié, je suis sûr que je peux encore t'inviter à boire un verre, n'est-ce pas ? „ Moïra acquiesce légèrement, et Charles se dit qu'il devrait l'embrasser maintenant, mais à l'instant où il vient poser sa main sur sa joue, une pensée lui traverse l'esprit, sans qu'il sache si cela vient de lui, ou d'elle. “ Mais une femme aussi belle que toi ne voudrait pas marcher aux côtés de quelqu'un comme moi, surtout si cela veut dire, pousser son fauteuil. „ Charles n'avait que de la douceur dans le regard, et pourtant c'est toute l'amertume de sa réplique que Moïra semble prendre de plein fouet, et à laquelle elle répond avec un certain énervement, se dégageant de sa main. “ Tu sais bien que je ne penses pas ça. Charles, quand vas-tu arrêter avec ça ? Il faudra que tu t'y fasses, un jour, tu ne pourras plus marcher. „ Comme au couperet de cette phrase, Charles sent l'amertume à nouveau l'emporter. “ Tu crois que je n'en suis pas assez conscient ? Je ne pense qu'à ça, toute la journée. Je n'ai peur que de ça toute la journée. Je veux me battre, me battre contre ça. „ “ Mais tu ne peux pas te battre contre la nature, contre ce qui est arrivé. Ce serait un peu comme... te battre contre ta mutation. „ “ Tu... ne comprends pas Moïra, je crois que tu ne comprends pas... pourquoi je me bats. „ Il ne veut pas être si blessant, mais c'est ce qu'il risque devenir, un être amer, rempli de rage et de rancœur, semblable à ce qu'était Erik, quand il l'a rencontré. “ Tu te bats pour ta dignité, pour être un homme comme les autres, mutant ou non. Je commence à bien te connaître, Charles. „ Et dans toute la douleur de cette conversation, des jambes et des souvenir, Moïra met, avec un sourire, un peu de douceur.
Charles voudrait sourire, lui aussi, lui dire qu'elle a raison, même si ce n'est pas tout à fait le cas. “ C'est vrai, Moïra, tu me connais bien. Mais... il n'y a pas que ça qui fait que je ne bats. C'est pour Erik aussi. „ Il ne lui en a jamais parlé, de ce qu'il ressent, de ce qu'il pense vraiment depuis l'incident sur la plage, depuis la balle perdue. Moïra est visiblement sous le choc. Après tout, c'est elle qui tirait sur Erik, et dans son esprit, Charles a bien vu que c'est Erik et non pas lui, qui aurait dû perdre l'usage de ses jambes. “ Erik ?! Après ce qu'il t'as fait ? Je ne sais pas comment tu peux encore penser à lui. „ Elle croise les bras, et se ferme - définitivement ? - au baiser que Charles avait pensé lui donner. “ C'était mon ami, le meilleur d'entre eux. C'était plus que ça, c'était un frère. Et je n'arrive même pas à lui en vouloir pour ce qui s'est passé... Je devrais, je sais. Mais je ne préfère pas devenir un homme de haine, j'ai vu ce que ça lui a fait, ce que ça peut faire. Nous avons nos divergences, certes, mais je ne lui en veux pas. Enfin, c'est ce que je me dis. Alors tu vois, je me bats pour garder mes jambes, parce que je veux sauver ça. Je ne veux pas qu'il m'ait détruit. Je ne veux pas devoir lui en vouloir toute ma vie, je ne veux pas qu'il s'en veuille toute sa vie. „ Il voudrait, en quelque sorte, tout en se sauvant lui-même, le sauver, lui aussi. Dernière demande d'un homme sur son lit de mort, se dit-il avec un sourire. Charles frappe ses mains sus ses jambes, presque inertes. “ Mais, à ce que je vois, je ne sais pas si on va y arriver ! „ Il dit ça avec un sourire, alors qu'il sait que ses lèvres se tordront bientôt en une moue plus amère, quand la paralysie l'aura emporté, et qu'Erik l'aura bel et bien détruit.
“ Mais n'y pensons plus, Moïra. Tu te rappelles de cette promenade en fauteuil, que tu m'as promise ? Allons-y. „ Moïra se lève et pousse le fauteuil de Charles. Au moins se dit-il, il ne va plus se fatiguer pour aujourd'hui. Le repos, ça peut être bien parfois. Même si dans ce monde, le repos, ce n'est jamais vraiment possible. “ Et est-ce que je peux toujours espérer avoir ce verre ? „ Moïra lui passe la main dans les cheveux, mais Charles sait que ses dons de dragueur finiront par l'emporter.

2222 mots.


behind the screen

CHARLES ♣ i can read on your poker face. Xmfc40
PRENOM/PSEUDONYME ϟ ton dieu.
PAYS DE RESIDENCE ϟ au-dessus de toi. il parait qu'on appelle ça l'olympe.
AGE ϟ plus que toi.
FREQUENCE DE PASSAGE ϟ je suis dieu, je suis là, c'est tout. tu n'as pas à en savoir plus.
OÙ NOUS AVEZ-VOUS TROUVE ϟ tss. c'est moi qui vous ai trouvés.
CODE ϟ je suis le code.
COMMENTAIRE PERSONNEL ϟ vénérez-moi si vous tenez à la vie. faites appel à ma miséricorde. (un conseil, offrir des gateaux peut marcher, mais intercéder pour passer une nuit avec érik sera beaucoup plus efficace pour obtenir ma bienveillance)


Dernière édition par Charles Xavier le Jeu 28 Juil - 11:16, édité 5 fois
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