7 septembre 1928 ϟ Nous sommes en 1963.

CARACTÈRE EN CINQ ADJECTIFS ϟ colérique, fatigante, excentrique, dangereuse, blessante.

DONS ϟ maîtrise de l'eau(et autre forme de maîtrise de l'eau voir fin) et des métaux d'ou le surnom steely's sea. Elle ne créé pas l'eau la transforme seulement, quant au métal elle ne le maîtrise qu'en cas d’extrême danger ou de colère. Mais ses pouvoirs ne sont rien sans sa détermination à faire ouvrir les yeux à celui que d'autre appelle Magneto et que mis a part Charles et Mistique elle est la seule qui ose l’appeler Erik. Mais ses pouvoirs en amènent des inconvénients. Le corps étant formé à 70% d'eau elle guérit les blessures et rend immortel.

CONVICTIONS ϟ Sarah n'est pas de tendance gentille d'ou sa rage pour les humains qui l'ont mal-mené depuis des années. Mais Sarah a découvert une autre facette des humains qu'elle soigne, de ses soldats qui n'ont jamais voulu partir en guerre. Cette facette c'est l'amour, le même qui a en quelque sorte poussé Sebastian Schmitt à l'adopter elle une juive déportée en Pologne. C'est Charles Xavier le moteur de toutes ses ambitions, lui le seul qui croit que les humains ont une chance de survie. Mais Erik est comme elle et de lui elle à tant de chose à apprendre, sur ses pouvoirs et son passé car lorsque Magneto était le cobaye de Schmitt, elle était la seule à avoir tout vu. Sans que jamais Magneto ne le sache.Sarah est fière d'elle peut être trop chose que ses proches lui disent sans cesse pour elle les mutants sont sa famille. Tous, elle dit que dans une famille il y a des désaccords que personne ne peut surmonter mais qui n'empêchent pas l'amour dans cette famille.Elle ne deteste qu'une seule race, les Allemands.

we are the future, not them

1943, il pleut, Cassandra sortait du wagon qui l’avait mené ici dans la pluie et le froid. La première chose qu’elle remarqua fut l’allemand. Les soldats le parlaient. Se fut à se moment qu’elle comprit. Elle était seule, ses parents avaient disparut dans la foule. Un soldat la poussa dans une queue interminable d’enfants et de vieillards. Elle sut à se moment précis se qui allait se passer dans les heures à suivre. 15 ans, si jeune se disait elle lorsqu’un homme lui tapota l’épaule.
Sebastian Schmitt son sauveur, celui qui l’avait élevé et protéger la renommant Sarah Edjie Anderson. Mais un jour pluvieux de 1944 un autre jeune garçon arriva au camp, il était spécial. Le portillon avait bougé Sebastian et Sarah en étaient sûre.
-Tu vois Sarah, les gens comme se jeune garçon son rare et précieux.
-Je sais père, répondit-elle.
-Promet moi de ne pas te montrer sa pourrait être dangereux pour toi, l’avertit Sebastian.
-Bien, acquiesça-t-elle en sortant dehors.
Deux soldats firent entrer le garçon. Sarah rentra dans le pavillon de Schmitt. A l’ instant où elle entra elle devina que quelque chose de terrible allait se passer. L’entré de la demeure était entièrement saccagée. Sarah se concentra pour mieux entendre, lorsqu’un soldat fit irruption dans la pièce où elle était. Il était ivre Sarah pouvait sentir les effluves d’alcool qui se dégageaient de lui. A son regard elle comprit ses intentions et la peur laissa place à la colère. Lorsqu’il s’approcha d’elle, Sarah le frappa en plain visage. C’est à se moment qu’il sortit son arme pour lui tirer dessus. Le coup de feu parti, mais la balle fut déviée. Le soldat ne bougeait plus, figé, gelé. Un hurlement sortit des lèvres de Sarah. Elle était un monstre. D’en dessous de la table elle ne sortit que lorsqu’elle entendit Sebastian entrer. Il se figea devant le soldat.
- Que c’est il passé Sarah ? lui demanda-t-il lorsqu’elle se refugia dans ses bras.
-Je na voulais pas, je te promets, je ne sais pas il… hésita la jeune fille.
-Alors ainsi toi aussi mon enfant tu en es une ? Cela veut dire que nous somme tout deux ceux qui peuvent faire changer le monde.

-BIP !!!!!
Sarh frappa le réveil qui l’avait réveillé cinq minutes trop tôt. Comment Charles pouvait-il maintenir se train de vie depuis si longtemps ? Elle n’avait jamais été réveillée par un réveil à 6h30 du matin pour s’entraîner encor moins pour aider des gens à s’entrainer. Jamais elle n’a voulu venir vraiment. Elle gardera sa liberté de toutes les façons possible. Mais Charles était celui qui lui avait tendu la main au lendemain des inhumanités de son père. Et Raven ? Qu’était elle devenue ? Cette jeune blonde toujours sur ses gardes, bien sur, l’amour rend aveugle…

*Sarah c’est l’heure* encore une fois c’était Charles qui l’a sortait de ses rêveries.
Quelques minutes plus tard, Sarah retrouvait Charles dans l’énorme jardin de la propriété.
-Alors ?
-Alors quoi ? demanda le télépathe.
- Raven, elle est où ? Insista-t-elle.
- Honnêtement je n’en sais rien, avoua-t-il.
- Menteur, tu ne veux pas que je l’a retrouve et que je lui ouvre les yeux. Avoues le au moins, le taquina-t-elle.
- Surement.
- Qu’est-ce que tu as-tu as l’air ailleurs ? Insista la jeune femme.
- Tien tu t’es teint les cheveux ?
- Oui, j’en avais mare du rouge acajou. Et toi, ne change pas de sujet, dit-elle.
- Rien je n’ai rien Sarah, dit-il amèrement.
- Vraiment alors c’est très bien, toi tu peux lire mes pensées mais dès qu’il s’agit de toi alors là tu ne ramène plus ta science. Arrête de jouer à l’enfant Charles, il est temps que tu réagisses, finit-elle sur un ton amère.
-Sarah attends un peut d’accord ? Attends avant de partir pour retrouver ta vie d’avant dans l’ombre de toutes ses personnes que ton père a influencé.
-Parce que maintenant tu me supplies de rester ? Et pourquoi Charles ? Pourquoi se voiler la face en pensant que tout redeviendra comme avant ? Tu n’arrête pas de penser qu’un jour homme et humain seront ensemble main dans la main et je suis d’accord avec toi. Mais en attendant notre vraie famille c’est barré et toi tu ne réagis pas du tout. Il est temps que ton groupe d’élite pense à partir en mission parce que là je n’en peux plus de le savoir aussi loin avec ses pensés destructrices. Se n’est pas lui !!!! hurla-t-elle en pleurant. Je m’en vais pour savoir se qu’ils font et tu ne peux pas me retenir mon ami loin de là. Dit-elle en tournant le dos à son ami.


*3 jours de plus sans Charles et ses bon conseils et ensuite come back home !!*, pensa la belle blonde adossée au bar. Comme à son habitude, un verre de soda à la main elle observait la salle. Il allait venir, elle en était sûre.
-Hey !! Sarah tu es blonde maintenant ? Sa te vas drôlement bien. Tu chantes se soir ? Lui demanda Clarisse une des serveuses du bar spectacle.
-Mais bien sûre, tu sais très bien que les hommes adorent ma voie, railla la mutante
-Ils apprécient surtout ton crochet droit quand ils te touchent, ria la petite brune.
-MEDAMES ET MESSIEURS VEILLEZ ACCEUILLIR COMME IL SE DOIT SARAH NOTRE BELLE CHANTEUSE AMATRICE QUI FREQUENTE NOTRE SCENE DEPUIS LE DEBUT DE LA SEMAINE.
Une ovation explosa dans la salle. S’était à elle de faire le show. Mais comment chanter l’amour quand on y croit plus ? Une chanson passe vite sauf quand lorsqu’on monte sur scène celui que l’on cherche depuis des années. Cette étape passée, il faut se calmer et descendre de scène puis sortir du bar comme tous les soirs. Sauf que dans ce jeu, Sarah était tout sauf joueuse. Ses atouts ont toujours été les chocs frontales, elle y n’y allait jamais de main morte. Mais là tout était différent, de une il y avait Raven ou plutôt Mystique et pour finir, Erik était dans une grande détresse. Sarah descendit dans la salle et se dirigea vers la sortie, mais se qu’elle redoutait arriva.

-Pardon, murmura-t-elle après avoir bousculé son ami d’enfance, de galère et celui qu’elle avait accessoirement toujours aimé même si il y avait eu Azazel.
-Se n’est rien, dit-il en l’observant de la tête aux pieds. Est-ce que je vous connais par hasard ?
-Non sa m’étonnerais, répondit-elle en cachant sa « marque » sur son avant-bras droit.
Elle ne prit pas le temps de dire au-revoir, elle était déjà troublé par ce bonheur. Elle l’avait revu. Mais se n’était pas un sentiment de joie ou d’amour qu’elle éprouvait, c’était de la colère. De la colère parce qu’il ne l’avait pas reconnu, c’est vraie que passer de l’acajou au blond faisait une grande différence mais ses yeux bleus qu’il aimait tant ne pouvais pas lui sortir de l’esprit.
-BIP !!!!!
*un nouveau jour se lève* pensa Sarah en sortant de son lit.
-Bonjour Charles, bougonna-t-elle
-Bonjour, tu m’a l’air de mauvaise mine sa vas ?
-Ohhhhh ! Laisse-moi tranquille tu m’énerve avec tes question, lâcha-t-elle en claquant la porte du bureau.
*Rappelle moi de ne pas parler à une juive énervé la prochaine foi*
*Ferme la Charles tu me saoul*
*je suis heureux de te revoir à l'institut Sarah, pendant un moment j'ai cru que...*
-Que j'allais te laisser seul à l'abandon, compléta-t-elle en le regardant, jamais Charles tu m'entends jamais.

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