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Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul

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Nathaniel Fetherstonhaugh


Nathaniel Fetherstonhaugh

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Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Vide
MessageSujet: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeDim 23 Oct - 15:49

Spoiler:



Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Tumblr_lhqkrcMrHI1qdwjb5o1_500
crédits ϟ feat. Paul Bettany
Nathaniel Fetherstonhaugh is Seraphin.

38 ans ϟ Pour l’instant, en sursis à l’institutϟ Traducteur par correspondance? Sans emploi, sinon. ϟ Américain


11 mai 1925 ϟ

CARACTÈRE EN CINQ ADJECTIFS ϟ Rancunier, il ne pardonne pas facilement, voir pas du tout, contrôle de ses émotions, solitaire, méprisant (et méprisable, sans doute), réservé, fier, avec un égo sur-dimensionné… mais où sont donc passées les qualités? Son estime personnelle en a pris un coup depuis peu, il ne les voit plus. Malgré tout, il se montre très protecteur lorsque le besoin se fait sentir.
DONS ϟ Vol : le don principal, le plus évident et le plus conséquent de Nathaniel est sans aucun doute l’immense paire d’aile couleur plumage de corbeau dans son dos, lui permettant pour ainsi dire de s’arracher à volonté à la gravité terrestre. Le défaut réside toutefois dans le fait que ceci n’est pas une mutation que l’on peut facilement dissimuler… (Le nivelage n’est pas vraiment possible ici, je crois…)À savoir que ses ailes ont commencée à se développé un peu tard, au cours de ses études en droit, vers l’âge de vingt-cinq ans (il possédait alors déjà son cours de linguistique en poche : il parle actuellement un peu plus de dix langues différentes)). Ce fut un choque pour lui.

Médium
: Ce don consiste en gros à la communication avec les morts (c’est limite surnaturel, mais je me suis dit qu’il y en avait déjà en réalité, alors why not), à parfois voir leurs souvenirs. Non seulement communiquer avec eux, mais les voir à l’occasion, comme des fantômes.

Niveau 1 : Ce don s’étant développé très jeune chez lui, dans son enfance, il ne faisait que parfois entendre quelques sons, voix, bruits. Il sentait que quelque chose se passait, mais ne le comprenait pas. Il ne pouvait pas encore communiquer.

Niveau 2 : Ce qu’il entendait à l’occasion est devenu beaucoup plus clair. Il parvenait alors à comprendre ce que disait ces voix et parfois ce que signifiait certains sons. Il n’arrivait toutefois pas encore à discernait lorsque les bruits venait d’ailleurs et lorsqu’ils étaient réel, du monde auquel il appartenait. Il ne pouvait pas encore communiquer, ni voir.

Niveau 3 : il parvenait à faire taire les voix, à les ignorer, à leur bloquer l’accès qu’elles avaient avec sa propre conscience. Il lui arrivait alors, à l’occasion, de voir une silhouette très flous. Ce n’était pas clair et il pensait généralement avoir rêve ou halluciné, carrément.

Niveau 4 : Il est aujourd’hui capable de voir beaucoup plus distinctement cette silhouette, comprenant qu’il ne s’agissait pas d’illusions que ses yeux lui faisaient. Il commence tout juste à pouvoir communiquer, sans pouvoir se faire comprendre d’eux. Il dit que les âmes des morts sont têtues comme des vaches, elles n’écoutent jamais. Il parvient aujourd’hui à les ignorer complètement : il ne les voit et les entend que lorsque et seulement lorsqu’il les accepte et leur en donne l’accès et la permission. En somme, sur ce point, il parvient à vivre tout à fait normalement.

Niveau 5 : Il parviendra éventuellement à se faire partager par les morts les souvenirs qu’ils possédaient lorsqu’ils étaient en vie (pas ceux qu’ils possèdent une fois mort, toutefois). De plus, il parviendra à se faire comprendre et écouter, bien que ça n’oblige pas l’âme errante à lui obéir…

Côtoyer les morts ainsi, dans sa jeunesse, l’aura tantôt rendu anxieux, tantôt dépressif. Il aura dû apprendre à faire plus facilement la distinction entre lui-même, vivant, et eux qui ne le sont plus pour se détacher de ces émotions. Aujourd’hui, parlant d’émotions, il semble d’ailleurs ne plus en avoir. Ceci est uniquement dû à cet isolement face à eux et il en aura gardé l’habitude autant dans sa vie quotidienne.

CONVICTIONS ϟ Nathaniel est depuis longtemps au courant de l’existence de la mutation et donc, automatiquement, de la présence d’autres mutants. Sa propre mutation aura attiré l’attention à l’époque. Non seulement l’attention des ses semblables, mais aussi celle des humains, malheureusement (de certains, du moins, proches de lui uniquement.) Certains croyants l’on souvent considéré comme à l’image de l’Ange déchu qui doit retrouver ses ailes. Fait amusant, il faisait peur la plupart du temps et on lui fichait la paix. Il fait peur, et adore ça, d’ailleurs… La race humaine, par sa crainte de lui, lui auront toujours causé problème. Et la haine engendra seulement la haine, il éprouva un sentiment de révolte face à l’humanité et se proclama fier d’être mutant. De là, sa haine pour la race humaine grandie à un tel point qu’il songea à son anéantissement, à l’extermination des hommes pour que domine les mutants. Combattre le mal par le mal. Le sang par le sang. La colère contre la colère. Bref, Nathaniel est tout à fait admirable devant la mutation qu’il considère comme étant un nouvel échelon dans l’évolution.


we are the future, not them

« Il reste toujours quelque chose de l’enfance, toujours… » -Margueritte Duras.


Un hurlement strident d’enfant dans la nuit. Une secousse silencieuse dans un lit. Le corps fragile se convulse sous la terreur avant de bondir brusquement hors des draps comme s’ils eurent contenu un poison mortel. Une paire de bras solides et rassurants s’emparèrent du corps fragilisé par la fièvre qui trainait depuis quelques jours déjà. On lui avait connu de cri plus puissant que seul celui qu’il poussa pour prendre son air les premières minutes de son existence. Le parfum sucré le pris au nez, le laissant pantois, blotti tout contre le corps chaud. La femme berça doucement l’enfant jusqu’à ce qu’il parvienne de nouveau à retrouver une figure de calme un peu menteuse. Elle le berça jusqu’à ce qu’il ferme de nouveau les paupières lourdes sur son regard absent, serrant le cœur de la mère qui y faisait face, appelant en elle un désir sauvage de le sauvegarder par tout moyen. Elle le ramena doucement au lit sans le brusquer, dégagea la mince chevelure blonde de son front qu’elle embrassa délicatement de peur de le réveiller, en espérant soulager sa nuit. Elle eut tout juste finie de se redresser que l’imposante silhouette masculine apparu sur le seuil de la porte. Sur l’homme elle posa d’instinct un regard méfiant. Il n’avait pas pour habitude de se déplacer de la sorte pour son propre fils sauf si ce n’était qu’il se devait de le réprimander… Elle lui avait déjà demandé pourquoi il ne démontrait aucune affection envers le garçon… Il s’était contenté de lui tourné le dos…


Ce que l’histoire ne dis pas au personnage, mais que le lecteur à droit de connaître, aussi peu important ce détail puisse-t-il influencer votre pensée. L’homme présent sur le seuil de la porte que l’on pouvait facilement supposer n’être rien de plus que la figure paternelle a toujours ses raisons. La mutation était une chose déjà bien connue de l’individu. Il ne haïssait pas le garçon. Il craignait, tout son être respirait la peur terrible de la génétique qu’il avait possiblement transmit à sa propre progéniture. En effet, mutant lui-même, l’homme, aussi cruel pourra-t-il paraitre, se hait plus encore qu’il ne déteste les autres. Sa vision : la mutation comme une malédiction, une maladie incurable, un cauchemar. Il aimait son fils de tout son cœur, de toute son âme, et tout ce qu’il pourrait faire ou penser, même, va bien au-delà de ses émotions.


-Si tu le laisses mourir, je…
-S’il meure, c’est qu’il ne méritait pas de vivre.

Silence. Le corps imposant et colossal pour un humain se détourna sans un regard de plus, seul un faible tremblement imperceptible secouait ses mains qu’il cacha dans le pli de ses coudes lorsqu’il croisa les bras sur sa poitrine. Le ton mordant ordonnait au silence. Il n’y avait plus que son muscle cardiaque qui tambourinait violemment contre ses côtes, comme s’il avait voulu exploser de colère.

Nathaniel développa rapidement les premiers signes avant-coureurs de sa mutation. La fièvre qui le tortura n’en était qu’un parmi tant d’autres. Il se retournait continuellement, où qu’il soit : un étrange sentiment le suivait où qu’il aille… comme s’il était observé, comme si à chacun de ses pas, on l’accompagnait silencieusement derrière lui. Les gens disaient que c’était qu’une impression, que ça arrivait à tout le monde de sentir comme ça, parfois. Mais ce n’était pas seulement parfois, avait-il envie de répliquer sèchement. C’était continuellement… Il craignait le noir, les endroits clos où se sentait plus oppressé encore que d’habitude. Il refusait d’entrer dans la demeure où était décédé sans grand-tante l’année précédente. Les signes parurent davantage lorsque le garçon, encore en bas âge, commença à parler à voix haute sans qu’on ne sache véritablement à qui il pouvait bien s’adresser. Il demandait souvent en suppliant qu’on le laisse tranquille, comme s’il eut été harcelé d’une manière tout ce qu’il y avait des plus mystérieuses. Tétanisé, la figure paternel du garçon se mit rapidement, en l’apercevant, à développé un comportement tout ce qu’il y avait de plus haineux. Les mots effilés comme des lames de rasoirs se transformaient parfois en claques monumentales que le garçon ne comprenait pas. La peine qui rongeait un peu plus le cœur de l’enfant, en grandissant, se transformait en rancune jusqu’en haine indéfinissable… Il ne pourrait lui pardonner tout le mal, toute la peur qu’il devinait dans son regard.

Le lecteur à besoin de connaître un peu plus sur la haine grandissante dans l’abime de l’âme. Car la violence elle-même n’eut pas raison de ça. Le père était, vous l’aurez deviné, mutant… faible, soit dit en passant. Trop pour être un réel danger. Chose que tous personnages ignoreront puisqu’il n’est plus pour raconter son histoire et que ce n’est pas ce qui nous intéresse ici… La peur veillait au point où se laissa passer pour homme normal aux yeux de tous, autant de la femme qu’il avait aimée autrefois que de cette progéniture qui était sienne, son sang, de son corps. La haine de Nathaniel envers les humains n’était pas sa cause. Elle partait du point précis de ce récit, à partir duquel il s’était mis à considérer son paternel comme ne méritant pas lui-même la vie… Il jouait le même jeu que ce dernier, celui du manque de considération, de la rancune, de la jalousie et sans doute aussi du mépris. La violence sur lui ne prenait alors plus l’aspect d’une punition : elle lui donnait un peu plus envie, à chaque fois, de faire cruauté au prix d’une vengeance savoureuse. Il fut dit plutôt que Nathaniel développa rapidement ses dons… ce n’est pas tout à fait vrai puisqu’il n’en serait jamais véritablement au bout de ses surprises. Mais très jeune, son pouvoir de contacter l’esprit des morts se développa au point qu’il s’accrocha à eux plus qu’au monde vivant.


Une sensation froide glissa sur sa joue. Il sursauta, d’abord et tourna vivement la tête de gauche à droite pour constater qu’il était seul à percevoir la fraicheur soudaine de la pièce. L’institutrice, à l’avant, plissa du nez en l’apercevant, menaçant d’abattre la règle s’il ne se remettait pas aussitôt au travail. Ce qu’il fit. Le monde mortel tentait d’attirer son attention plus que de raison et il fut écrit qu’il ne parviendrait pas à terminer son travail scolaire à temps et qu’il en serait puni. Un murmure à son oreille étreignit son âme de douleur sans qu’il ne puisse jamais véritablement se l’expliquer. Pourquoi les morts parvenaient-ils à, parfois, lui insuffler tant de sentiments qui ne lui appartenaient même pas, ça, il l’ignorait encore aujourd’hui. Il tenta d’écouter, doucement, sans attirer l’attention de l’enseignante qui déambulait mécaniquement, à présent, entre les ranger des étudiants aussi sage qu’image. Ce n’était pas un appel à l’aide qu’on lui faisait. C’était autre chose… L’impression qui le guettait alors était plutôt celle que l’on souhaite pour être écouter d’une oreille attentive, mais inconnue. Et être médium, c’était un peu cela… Puisque oui, il avait bien compris ce qu’il était depuis le temps qu’il le subissait. Parfois, lorsque les morts lui parlaient et qu’il parvenait à clairement comprendre ce qu’ils racontaient, il les citait et rapportait de manière incognito ces paroles au destinataire… Bien sûr, lorsque c’était lui qui leur posait des questions ou cherchant à se confier lorsque la peine se montrait trop féroce, on ne lui répondait. Ils se contentaient de l’ignorer. C’était comme s’adresser à un mur…

Nathaniel avait toujours été bon élève. Des moyennes élevées, cours réussis, il ne ratait rien. Et c’était sans doute pour cette raison qu’il se révolta davantage lorsque l’enseignante arriva à son niveau sans qu’il ne l’aperçoive et qu’elle lui arracha délibérément le crayon des mains qu’il maintenait loin de sa feuille encore vierge par sa blancheur. Il sursauta brusquement, s’apprêtait à répondre, mais elle le cassa et le laissa tomber sur le petit bureau de bois en insinuant qu’un enfant incapable de répondre à cet exercice ne méritait pas de crayon. C’était toujours la même rengaine, la même histoire dont il se blasait, mais qui l’excédait toujours autant. La fureur gronda plus que de raison dans sa tête et il se leva brutalement, d’instinct. La sauvagerie qui transcendait à travers son regard azuré ne laisse place à aucune pitié, à aucun pardon. C’était assez. Il avait décidé. Il n’était pas un moucheron. Pour ces humains, il était un dieu inconnu. Qu’ils s’inclinent! La clarté avec laquelle il associa ces pensées le surprenait lui-même… Mais sans y réfléchir davantage, il repoussa la femme en jurant contre elle que plus jamais… plus jamais quoi? Il ne le précisa pas.

Après l’incident, il fut retiré de l’école puis déménagé. Honteux, son paternel refusait de voir cet incident se provoquer de nouveau au même endroit et le changea de place. L’école où il fut envoyé était, tout au contraire de la première, d’un strict absolu qui ne plut d’abord pas du tout au jeune garçon qui se révolta au début. L’adaptation se fit des plus rapides toutefois lorsqu’il constata à quel point les élèves brillants avait le dessus sur les autres : on les plaçait sur un pied d’estrade en espérant que chacun et chacune souhaiterait les imiter… Aussitôt, le jeune garçon démontra d’impressionnante capacité d’apprentissage. C’était la création d’un monstre… Dès cet instant, il se considéra toujours supérieur aux autres, s’imprimant d’un mépris de tortionnaire et d’un comportement des plus hautains possibles. Si les capacités des uns ou des autres n’étaient pas suffisantes, à ses yeux, ils ne valaient rien de plus qu’une fourmi… C’était la répétition… Tout ce que lui avait enseigné son père se répétait inlassablement à la manière d’un reflet dans le miroir. La haine avait dominé sur la douceur qu’avait tenté de lui inculquer sa mère qui, de son côté, avait quitté l’homme violent. Elle avait bien réquisitionné l’enfant : il avait refusé… Refusé pour une promesse de vengeance qu’il s’était fait, celle de pourrir la vie de l’homme.

Épargnons la partie du récit si peu attirante de son éducation… Les détails sont plus que superficiels. Ce qui est utile à savoir sur l’existence du personnage est sans doute le cheminement très précis qu’il suivit. En vieillissant, ses intérêts pour le goût amer de la vengeance ne changèrent pas un seul instant. Ils le suivirent et le pourrirent de l’intérieur tout au long de ses études en droit. Il se révéla, malgré sa haine, un être que la justice guida jusqu’au bout des doigts. Sans doute était-ce exactement pour cette raison qu’il n’attenta jamais à la vie de l’homme qui l’avait élevé et qu’il avait lâchement abandonné pour mener sa propre existence à l’université, loin de ce qu’il avait été. Il faut bien évoluer parfois… L’été, toutefois, et au cours des vacances, il revenait à la maison paternelle, ne pouvant rester en chambre toutes les vacances, à distance. C’était donc avec regret qu’il remettait les pieds là. Mais en vieillissant, il devenait plus imposant, plus dur et plus froid. Son expression de marbre était entre mépris et rancune, sentiments figés sur ses traits. Son père perdait pied devant l’homme que son fils devenait au fil du temps : un homme de sang froid et sans pitié dans les décisions qu’il prenait. Le premier stage qu’il suivit fut pour devenir avocat dans un petit cabinet privé, en même temps de quoi il débuta quelques cours en linguistique, pour s'avancer davantage, ayant déjà pris ses propres bases et progressant rapidement dans le domaine de la langue. Parfois, vous vous en doutez, lorsque la peur prend trop le dessus sur le reste, il ne reste plus rien d’humain dans les yeux d’un seul être…

Les premiers signes furent différents cette fois. Une vilaine douleur lui tirait à travers tout le dos, l’immobilisant pendant une journée ou deux. Il sentait ses os se brisés sous une force inconnue qu’il savait pourtant ne pas être liée à son don de médium. Une transformation avait lieu en lui. Un changement qu’il ne pouvait contrôler. L’étirement qu’il ressentait se transforma bientôt en blessure sanglante, comme si de nouveaux os s’étaient formés et, n’étant pas à leur place, tentaient par tous les moyens possibles de percer sa chaire. La transformation n’eut pas lieu en quelques jours. Se fut plutôt une question de quelques semaines avant qu’il ne remarque la vérité. La malformation, dans le haut de son dos, était de nouveau due à la mutation, se n’était plus à en douté. Des ailes faisaient peu à peu apparition, naissantes. Leur forme maigre et fragile ne laissait qu’à douter de leur puissance. Personne n’aurait pu dire qu’elle deviendrait ce qu’elles sont aujourd’hui. Le jeune homme de l’époque tenta de cacher la mutation le plus longtemps possible, même lorsque les ailes minuscules alors donnait une déformation sous ses vêtements, même lorsque les plumes qu’il arrachait alors une à une par fascination apparurent, pointant de temps à autre ici et là. Et des plumes comme il n’en avait vu ni touché! Aussi noires que la nuit la plus obscure, légère, plus noir encore, si cela est possible que le plumage du corbeau. Un noir à l’apparence d’abord mouillée sous les reflets de la lumière. En vieillissant, ces plumes prendraient une teinte moins brillante, plus terne et fatiguée. Les épreuves, peut-être, pourrait-on songer, le marquèrent au fer rouge.

Lorsque la mutation devint trop évidente, il arrêta l’école et se concentra à trouver un nouveau moyen pour dissimuler ces ailes qui prenait un peu plus d’ampleur et de force à chaque jour qui passaient. Une nuit, il n’entendit pas les pas feutrés dans le couloir qui menait à sa chambre dont la porte était habituellement toujours verrouillée. Pas cette nuit : il l’avait oublié pour la toute première fois. L’ombre se glissait dans la salle sombre où régnait le plus grand silence si ce n’était la respiration calme de l’ange noir. Le reflet du lampadaire à travers la fenêtre se reflétait sur la lame argentée, serré entre les doigts aux os craquants sous la nervosité. Et…

Un cri déchira la nuit lorsque la lame vive déchira les premières chairs de ses ailes, le réveillant pour le plonger dans un cauchemar des plus réels. Le jeune homme se débattit, chercha aussitôt à frapper par la colère. L’assaillant avait prévu le coup… Il ne perçu pas l’objet, mais la lourde masse s’écrasa dans son front, le sonnant quelques très courts instants avant qu’il ne reprenne ses esprits pour se rendre compte que l’individu s’acharnait contre la seconde aile… Il lui avait coupé une aile de sang-froid, littéralement! Cette pensée l’eut-t-il horrifié qu’une nouvelle douleur le traversa d’une part à l’autre alors que la seconde, tout aussi ensanglantée, tombait à son tour, tressaillant encore. Une larme roula en silence, se mêlant aux traces de sang qui tâchait son corps entier et ses draps. Se fut un choque terrible pour le jeune mutant qu’il était à l’époque. Il ne songeait ni à se retourner contre son agresseur ni à lui en foutre une. Dans son esprit, l’identité de ce dernier était trop claire pour qu’il puisse l’ignorer… Mais la douleur était telle, lui vrillant l’âme et le dos, qu’il ne parvint pas à s’en remettre jamais complètement. Ça n’avait pas été seulement arraché deux membres… ça été arraché une partie de lui à laquelle il s’était adapté et qu’il appréciait, car non, il n’avait en effet jamais réellement été honteux de ce qu’il était. Les sanglots qui l’étreignirent cette nuit-là furent sans doute les seuls et derniers qui ferait trembler ses lèvres.

Il quitta le nid familial dans les jours qui suivirent pour ne plus y retourner. À vingt-cinq ans, de toute manière, il était grand temps de vivre par soi-même… Il abandonna complètement les études et se consacra à se développer personnellement d’une autre manière.

Ce fut un prêtre qui le recueillit chez lui, lui permettant ainsi de se remettre autant mentalement que physiquement. Il s’était alors enfuit au Mexique. L’homme d’église était lui-même purement Américains, leur reconnaissance ne fut guère difficile. Mais l’homme croyant s’attacha trop à Nathaniel qui n’en éprouvait pas les mêmes sentiments. S’il lui était reconnaissait, il n’était pas croyant. Pas du tout, même. Lorsqu’il se remit de ses blessures, il se rendit compte de tout le mal qu’il put créer dans l’esprit de l’homme d’église qui s’était convaincu lui-même avoir affaire à autre chose qu’un homme… Un ange… un ange que la déchéance humaine avait damné jusqu’au bout des plumes. Et l’homme s’était attribué comme mission de réparer les erreurs humaines et renvoyer son ange d’où il venait… Étrangement, Nathaniel s’en sentit presque réconforté. Pour ces hommes ignorants, il était plus qu’humain, il était au-delà de la mutation : il entrait presque dans le royaume de la divinité…

À vous lecteur, vous aurez bien vite compris que le cas de l’Ange Noir n’est plus récupérable que par quelques puissants sentiments auxquels il ne s’adonne plus. Le don de médium s’est intensifié en côtoyant le prêtre et atteint à présent le niveau quatre, lui permettant ainsi de se faire entendre de ces âmes en peine. Toutefois, il ne partagea jamais cette capacité avec qui que ce soit. S’il appréciait l’attention qu’on lui prêtait à l’époque, il s’en blasa au bout d’un certain temps qui se révéla être plusieurs années après son départ des États-Unis d’Amérique. À trente-six ans, il commença à songer à changer de façon de vivre… Se fut d’ailleurs en ce début d’année qu’il rencontrerait l’être qui le ferait changer. Se fut aussi le premier mutant qu’il croisa sur son chemin (mis à part son père dont il n’en connaissait pas le secret.) Erik Lensherr fut pour lui un nouveau moyen d’évoluer, sans qu’il se s’en rende compte lui-même au début. Nathaniel éprouvait déjà cette haine pour l’humanité qui, secrètement, il partageait vaguement avec le mutant d’une ou deux années seulement plus jeune que lui. Peut-être était-ce justement cet âge qui fit qu’il s’attacha un peu à lui, au point où il se sentit des plus en colère lorsqu’il rejoignit le côté du bien, pour les hommes. À cette époque, Nathaniel était revenu au pays et s’était bien avant cela allié au Club des Damnés pour leur idéaux qui l’avait plus que suffisamment charmés. Il tomba en mauvais terme avec Erik.

Lorsque plus tard Erik quitta ces X-man pour prendre la tête du Club des Damnés, il ne put s’empêcher de continuer de ressentir un brin de rancune vis-à-vis du mutant pour son côté frivole… du moins était-ce ainsi qu’il considérait la chose… Jusqu’à ce jour.


« Je le ferai. »

Les paroles éclatèrent dans le moment de silence. Nathaniel n’avait jamais été celui qui se laissait dominer par qui que ce soit, pas même ce nouveau Roi noir. Il n’agissait généralement que par son propre consentement. Il n’était pas un oiseau que l’on pouvait dresser et s’en montrait digne. Ils étaient quatre. Quelques bouteilles trainaient sur la table devant eux. Seraphin n’avait pas non plus pour habitude de se mêler aux autres, étant plutôt solitaire de nature. Mais l’alcool le faisait parfois changer d’avis, comme un vieil ivrogne, il se montrait alors plus coopératif. Le jeu était simple… Une femme, tout ce qu’il y avait de plus humain, avait désigné du doigt la mutation comme étant une maladie qui n’empêchait pas ces gens d’être comme elle, comme tout le monde. Il avait daigné diminuer tout ce qu’eux étaient, ce qu’ils représentaient dans l’Évolution de la race humaine. Ils s’étaient entendus de lui démontrer qu’ils n’étaient pas des sages et qu’ils n’étaient pas ce qu’elle disait : qu’ils étaient bien supérieurs à tout cela.

L’Ange Noir déploya l’immensité de cette paire d’ailes aux plumes de corbeau, prenant toute la place qui lui était due, ignorant les regards parfois agacés de ses compatriotes. Il s’arracha sans hésitation à la gravité à laquelle il ne semblait plus apporter la moindre préoccupation, comme si le ciel lui-même était son élément naturelle plus que le sol qui l’avait vu naître. À la manière d’un oiseau sauvage, il semblait plus agile et à l’aise dans les airs qu’ici bas. À la manière d’un signe de malheur, comme une superstition vivant, le Damné revint sur terre dans un bruit d’ailles battantes. Si on lui avait dit que tout ceci n’était qu’une mauvaise blague, qu’il n’avait au fond qu’à faire demi-tour puisque ce qu’il verrait là serait sa fin, il s’en serait moqué de vive voix. Il n’y aurait pas cru. La femme qui se présenta à son regard n’était pas ce qu’il aurait cru. Âgée, elle atteignait sans doute ses quatre-vingts étés, si ce n’était davantage. Elle posa sur le Corbeau une paire d’yeux d’un bleu acier qui lui rappela momentanément quelque chose, procurant chez l’homme blond un sentiment qu’il ne connaissait que trop peu. Il en demeura toutefois aussi stoïque qu’une statue de marbre et s’avança, imposant.

« N-Nathou! »

Il s’arrêta en chemin, dans les marches de l’escalier extérieur menant vers elle comme le trajet de la Mort. L’utilisation de ce surnom que personne n’osait seulement prononcer le laissa septique une fraction de seconde. Comment, de toute manière, cette vieille pouvait seulement deviner ce nom?

« Je me montre juge des paroles mensongères que vous prononcez à tout va. Nous so… »

« Mais que t’est-il arrivé! Qu’es-tu devenu?! »


Elle le coupa sans la moindre hésitation, comme si elle l’avait connu depuis toujours alors que ce n’était pas le cas. Il en garda tout de même un calme olympien. Ce n’était pas non plus dans ses habitudes de s’énerver facilement. Elle le regardait d’un œil vif et illuminé comme si elle avait en face d’elle le revenant d’un souvenir qui l’eut hanté par le passé.

« Nous ne nous connaissons pas. » réclama-t-il comme vérité sur un ton mordant et sévère, comme s’il ne pouvait y avoir d’autre évidence que celle-là.

Elle secoua négativement la tête et descendit les quelques marches que la séparait de lui. Par réflexe, le multi linguiste en descendit une ou deux bien qu’elle eut tôt fait de continuellement réduire cette distance entre eux deux. S’il était toujours calme en apparence, il sentait l’agacement le gagner de l’intérieur. Et Dieu seul savait à quel point il pouvait être cruel lorsque, comme un animal, il se sentait acculé au pied du mur.

« Ne dis pas n’importe quoi… C’est moi voyons! »

Il resta muet, son cœur tambourinant violent dans son torse, comme s’il craignait le pire, bien que ni son regard d’acier ni son expression faciale ne le démontrait. Avec le temps, le médium s’était forgé une carapace glaciale et immuable. Si un sourire parois étirait ses lèvres, ce n’était jamais que du sarcasme cruel et amusement ironique. Elle rougit un instant en voyant le manque de réaction du mutant qui s’apprêtait presque à retourner d’où il venait, bien qu’il sentait déjà l’arrivée imminente des autres sur qui il avait pris de l’avance en prenant l’envol.

« Je vous répète que nous ne nous connaissons pas et… »

« Je suis ta mère! Et tu ne reconnais pas! » s’indigna-t-elle à un fil d’éclater en larmes devant l’homme ailé.

Ce genre de révélations n’étaient pas celles pour lui faire plaisir, au contraire. Elle répondait même étrangement à l’écho familier qui résonnait en lui depuis son atterrissage. Le pincement qu’il ressentait depuis s’était accentué devant la situation comme pour tenté de le convaincre de la véracité de ces paroles qui lui semblèrent pourtant si… impossibles. Tout se passa si rapidement ensuite que lui-même n’était plus vraiment certain de l’ordre chronologique des choses… Lorsque les trois autres l’eurent enfin rejoint, il s’était déjà retourné pour quitter les lieux, disant qu’ils n’avaient plus rien à faire ici. Un rigolo s’y opposa vivement. Il changea le plan… Nathaniel, juste de nature malgré ses intentions mauvaises, refusa, maintenant que ce n’était pas ce qui était prévu et qu’il n’approuvait pas. Ne pas approuver à quoi? Lorsqu’on l’interrogea plus tard, il ne su jamais très bien quoi répondre, gardant au plus profond de lui-même ce visage horrible et tordu qu’il avait aperçu une fraction de seconde. Il se souvient toutefois très clairement du pyromane agressif et vulgaire qu’il avait déjà souhaité considéré autrement que comme le minable qu’il était. L’homme ailé s’était vivement opposé… à quoi? Il n’en parlait pas, s’y refusant, gardant ses propres raisons. Quoi qu’il en soit, il se souvenait du mot clamé : traitre… sans doute parce que prendre la part d’un être humain non mutant était mal vu lorsqu’on est sensé les haïr. Quoi qu’il en soit, son air supérieur et particulièrement protecteur pour la vieille humaine termina d’attiser les tisons de la haine à son encontre. La langue de feu gicla par colère plus qu’autre chose et brula tout de même les plus dont il s’était servi des ailes pour se protéger lui-même et la femme par la même occasion. Il ne se rendit toutefois jamais réellement compte que le trop plein d’émotion avait déformait les traits doux de la vieille dans une émotion figée dans la douleur du cœur meurtri.

Pour la suite? Il ignorait un peu l’ordre exact des évènements. Il était dans la cours arrière de la maison de celle qui aurait due être sa mère. Où était-elle? Il l’ignorait. Plus là en tout cas. La boue le souillait de la tête au pied et son aile droite refusait désormais de lui obéir. Son dos souffrant généralement des blessures à sa mutation, il s’en arrachait tout le côté droit au moindre mouvement qu’il effectuait pour se bouger. Il utilisa sa veste pour serrer contre lui, malgré les protestations douloureuses qu’elle lui faisait, l’aile de manière à l’immobiliser autant que possible. Il sentait avoir perdu sa propre dignité dans cet incident dont sa tête semblait avoir voulu lui rappeler le moins de souvenir souffrant possible.

Lorsqu’enfin il fut capable de se remettre, la chose la plus logique pour l’Ange Déchu fut d’entré dans cette maison qui était un peu la sienne, au fond. Ce qu’il fit, sans plus de cérémonie. Ce petit quelque chose de cassé au fond de son âme de Damné l’empêcha de retourner lui-même au Club. Le mot traitre était une catégorie à laquelle mieux valait ne pas se frottait. Ce que le personnage lui-même ignore toutefois est l’histoire que l’on défila sur son dos lorsque les trois autres furent entrés au bercail et qui lui tatouait littéralement ce mot dans les entrailles. Les rumeurs à son sujet furent nombreuses, mais aucune ne fut très glorieuse. L’Ange parvint toutefois à rejoindre le seul être peut-être qu’il aurait pu considérer comme un ami si ça n’avait été ses tendances à changer de camp à tout bout de champ. Mais peut-être devenait-il comme lui… « Je ne reviendrai pas, mais je dois trouver un endroit où rester en attendant… J'ai sérieusement besoin de vacances... de très longues vacances... » murmura-t-il la voix solide, bien que, au lointain, on percevait tout le mal qu’il éprouvait à garder son calme en cet instant. Nathaniel ne pouvait vivre en société normalement, avec cette mutation trop évidente, c’était un fait. De plus, il en était trop fier pour la cacher. Il lui fut conseiller de se rendre au seul endroit logique où on ne lui sauterait pas dessus pour trahison d’un côté et pour crainte de ce qu’il était de l’autre… Où ça? L’Institut X fut pour lui la meilleure solution, bien qu’il n’était pas particulièrement à l’aise avec ce choix. Ce n’était pas non plus comme s’il en avait beaucoup d’autres… Bien entendu, les ragots sur son dos ne s’arrêtèrent pas là. Lorsqu’il eut mit les pieds pour la toute première fois dans l’endroit, les murmures fusèrent quelque peu… Après tout, un Damné restait un Damné… Un méchant restait un méchant…

Il devra se faire à ce nouveau mode de vie rempli de la méfiance des autres.


Spoiler:



behind the screen

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PRENOM/PSEUDONYME ϟ
PAYS DE RESIDENCE ϟ Somewhere in America...
AGE ϟ Majeur partout.
FREQUENCE DE PASSAGE ϟ souvent lorsque les cours ne prennent pas tout mon temps.
OÙ NOUS AVEZ-VOUS TROUVE ϟ Surprise.
CODE ϟ Clothing was never an option
COMMENTAIRE PERSONNEL ϟ Longue vie à MAP.



Dernière édition par Nathaniel Fetherstonhaugh le Dim 30 Oct - 17:04, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeDim 23 Oct - 15:52

NATHANIEEEEEEL. Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  566610020 je t'ai déjà fait part de mon enthousiasme par mp aussi je ne vais pas m'étendre plus sur l'immense joie d'avoir ce perso among us, hein. :'D
À plus mec. <3
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeDim 23 Oct - 23:01

J'aime... x) Erik s'est transformé en groupie Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  1983328634
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeDim 23 Oct - 23:03

Moi, groupie ? Qui me parle ? xD
(Puis t'as qu'à pas créer des persos aussi cools, d'abord.)
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeDim 23 Oct - 23:15

C'est la cool-attitude.

*pan*

Parce que ça le vaut bien x)
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeLun 24 Oct - 10:00

Bienvenuuuuuuue Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  3993731222 Bon courage pour fini ta fiche
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https://mutantandproud.1fr1.net/t266-l-homme-multiple
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeLun 24 Oct - 23:11

Je préviens simplement que ce n'est pas parce que parfois certains bouts de l'histoire font leur apparition que c'est forcément terminé, loin de là. Je poste seulement pour ne rien perdre, ayant actuellement quelques difficultés informatiques x) Vous n'êtes pas forcé de lire et même que j'irais jusqu'à le déconseiller pour le moment... enfin, chacun ses envies, après.

Thanks!

EDIT: je préviendrai quand se sera au poil, vous en faites pas les choux.
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeVen 28 Oct - 22:46

OH OUIIII !!NATH !!

*Lui saute dans les bras, rien à fichtre de passer pour une groupie*

Bienvenue !! En espérant que tes problèmes d'informatique soient bientôt résolus...
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeSam 29 Oct - 14:50

T'as jamais précisé qui était le père de ton enfant?

*Sort loin*

Des problèmes informatiques? Ah oui, c'est seulement quand je suis sur la co' de l'école en fait, tout va bien à la maison x)

*Embrasse Gwen :<3: *
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeDim 30 Oct - 17:06

Double post pour dire que c'est plutôt terminé... J'étais un peu lâche pour la correction, je me suis contenté du survoler x)

Erik: si ce que j'ai dis te concernant ne te conviens pas, n'hésite surtout pas, je ne t'ai pas impliqué directement, ton personnage n'as surtout pas été joué, je me suis contenté de mentionner quelques petites choses...

Voilà (vous voulez que je vous dises que ça fait plus que 1200? *pan*)
Ah oui, faut pas hésité à me taper s'il y a des incohérence et tout ça... Suspect
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeMar 15 Nov - 17:44

Bon je ne veux pas être chiante, c'est pas comme si je m'ennuyais tant, mais... et sorry du triple post, je rappelais juste, après deux semaines, que j'avais bien fini, hum.

Je sais que vous êtes très occupés aussi, mais j'ai vu d'autres en validations et j'ai fais les gros yeux x) *pan*
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Jean E. Grey


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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeMar 15 Nov - 17:59


    Désolée Stas-chou, Erik avait mis un véto sur ta fiche en disant qu'on devait la laisser te valider... Mais malheureusement on a eu une baisse de régime (tout le monde plus ou moins, en fait, vu l'état d'activité du forum en ce moment !! ><') et ça a été oublié.
    Du coup on va faire notre possible pour te valider rapidement en s'excusant platement de l'attente, personnellement je devrais même pas être connectée (j'suis en train de bosser en même temps et c'est fou comme j'avance, LOL U_U)...
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeMar 15 Nov - 18:02

Hein je suis chouchou à Erik maintenant *___*

*sbaff*

Non, je tenais juste à me renseigne, jeanie d'amour.
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Jean E. Grey


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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitimeMar 15 Nov - 18:05


    Oui c'est normal, tu fais bien de le signaler d'ailleurs on aurait été capable de passer à côté tu sais... x) On s'dépêche Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  1980546550
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MessageSujet: Re: Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul Seraphin ~ Dark feathers for a dead soul  Icon_minitime

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